Selon le site Koaci.com, depuis le début du mois de septembre, cinq jeunes ivoiriennes sont venus taper à la même porte d’un logement des de...
Selon le site Koaci.com, depuis le début du mois de septembre, cinq jeunes ivoiriennes sont venus taper à la même porte d’un logement des deux plateaux de Cocody et avec la même motivation, la présentation d’un tout frais bébé métisse.
La porte est celle de l’appartement abidjanais d’un Européen, apparemment selon les informations reçues, un diplomate italien d’une quarantaine d’année, qui n’a plus été vu sur les lieux depuis mai.
Le propriétaire, un Ivoirien de Sakassou, joint par l’intermédiaire du gardien, révélera que le bail toujours en cours est au nom d’un Suisse travaillant pour une société agroalimentaire et présent sporadiquement dans le pays. Effectivement, un autre Européen, actuellement en déplacement, occupe l’appartement, comme nous le confirmera le gardien.
Aux dires de ce dernier et de l’une des femmes, la dernière des « mamans » rencontrées ce samedi matin, l’occidental, dont nous ne connaissons à cette heure ni la véritable identité ni même la localisation, usait de plusieurs pseudos. Pour cette dernière, c’était « Rafaello » alors que le gardien l’appelait « Francesco » et une autre aurait demandé après un « Sergio ».
La femme rencontrée, son bébé métisse sous le bras, nous expliquera avoir eu une relation en fin d’année 2012 avec l’homme qu’elle avait rencontré lors d’une soirée où elle officiait en tant qu’hôtesse. Selon elle, l’homme n’est plus joignable depuis des mois au numéro via lequel ils conversaient depuis plusieurs mois, situation que corroborera le gardien relatant les dires similaires des quatre autres femmes venues frapper à la porte creuse. Elle avouera lui avoir relevée en mars être enceinte de lui.
Le gardien nous présentera le numéro de la première à être venue sur les lieux avec son enfant le 2 de ce mois mais cette dernière, jointe, qui confirmera les faits, refusera par ailleurs de nous donner plus de détails arguant le fait de s’être faite avoir mais d’être heureuse de sa progéniture.
Selon la maman rencontrée ce samedi matin, déçue de constater l’absence de celui qu’elle présente comme le père de sa petite fille, l’italien était « gentil » avec elle, qualificatif qui sous entend « générosité » matérielle et financière en Côte d’Ivoire.
Le gardien avouera qu’en fin d’année dernière l’homme recherché de ces dames enceintées, en avait fait défiler un bon nombre et ce à chaque fois en fin de soirée. La maman indiquera avoir eu peu de rapports avec l’homme mais tous dans l’appartement.
Nous apprendrons pour finit que la troisième était venu accompagnée d’un de ses parents qui, en furie, aurait juré retrouver le présumé auteur des faits voire saisir l’ambassade d’Italie en Côte d’Ivoire si tant est que l’homme soit véritablement un italien.
Pour ces femmes, le seul recours qui apparait à cette heure reste le locataire suisse qui pourrait les aider à remonter vers leur amant « d’un soir ».
Notons qu’avoir un métisse ou un enfant clair en Côte d’Ivoire est généralement bienvenu augurant plus de chance pour l’avenir .
Reste désormais à savoir si le papa présumé de ces cinq enfants refera surface pour au moins les voir et aussi aider les mamans, dans un pays où rappelons le, la solidarité nationale d’aide aux mamans, est inexistante.
Afrik 53 .com
La porte est celle de l’appartement abidjanais d’un Européen, apparemment selon les informations reçues, un diplomate italien d’une quarantaine d’année, qui n’a plus été vu sur les lieux depuis mai.
Le propriétaire, un Ivoirien de Sakassou, joint par l’intermédiaire du gardien, révélera que le bail toujours en cours est au nom d’un Suisse travaillant pour une société agroalimentaire et présent sporadiquement dans le pays. Effectivement, un autre Européen, actuellement en déplacement, occupe l’appartement, comme nous le confirmera le gardien.
Aux dires de ce dernier et de l’une des femmes, la dernière des « mamans » rencontrées ce samedi matin, l’occidental, dont nous ne connaissons à cette heure ni la véritable identité ni même la localisation, usait de plusieurs pseudos. Pour cette dernière, c’était « Rafaello » alors que le gardien l’appelait « Francesco » et une autre aurait demandé après un « Sergio ».
La femme rencontrée, son bébé métisse sous le bras, nous expliquera avoir eu une relation en fin d’année 2012 avec l’homme qu’elle avait rencontré lors d’une soirée où elle officiait en tant qu’hôtesse. Selon elle, l’homme n’est plus joignable depuis des mois au numéro via lequel ils conversaient depuis plusieurs mois, situation que corroborera le gardien relatant les dires similaires des quatre autres femmes venues frapper à la porte creuse. Elle avouera lui avoir relevée en mars être enceinte de lui.
Le gardien nous présentera le numéro de la première à être venue sur les lieux avec son enfant le 2 de ce mois mais cette dernière, jointe, qui confirmera les faits, refusera par ailleurs de nous donner plus de détails arguant le fait de s’être faite avoir mais d’être heureuse de sa progéniture.
Selon la maman rencontrée ce samedi matin, déçue de constater l’absence de celui qu’elle présente comme le père de sa petite fille, l’italien était « gentil » avec elle, qualificatif qui sous entend « générosité » matérielle et financière en Côte d’Ivoire.
Le gardien avouera qu’en fin d’année dernière l’homme recherché de ces dames enceintées, en avait fait défiler un bon nombre et ce à chaque fois en fin de soirée. La maman indiquera avoir eu peu de rapports avec l’homme mais tous dans l’appartement.
Nous apprendrons pour finit que la troisième était venu accompagnée d’un de ses parents qui, en furie, aurait juré retrouver le présumé auteur des faits voire saisir l’ambassade d’Italie en Côte d’Ivoire si tant est que l’homme soit véritablement un italien.
Pour ces femmes, le seul recours qui apparait à cette heure reste le locataire suisse qui pourrait les aider à remonter vers leur amant « d’un soir ».
Notons qu’avoir un métisse ou un enfant clair en Côte d’Ivoire est généralement bienvenu augurant plus de chance pour l’avenir .
Reste désormais à savoir si le papa présumé de ces cinq enfants refera surface pour au moins les voir et aussi aider les mamans, dans un pays où rappelons le, la solidarité nationale d’aide aux mamans, est inexistante.
Afrik 53 .com