Nouveau parfum de scandale au Conseil Général. En cause un trafic de faux diplômes. Celui par qui le scandale arrive a pour initiales N.A ...
Nouveau parfum de scandale au Conseil
Général. En cause un trafic de faux diplômes. Celui par qui le scandale
arrive a pour initiales N.A et porte le surnom d'un ancien dictateur
africain très connu. Il travaille dans un service sensible à
l'aménagement, et il est ingénieur. C'est en tout cas le titre qui lui
est reconnu.
Pour se faire embaucher, il n'a pas présenté son diplôme, mais un simple bulletin de notes démontrant qu'il a achevé ses études sur une belle réussite à l'université de Reims Champagne Ardenne. Le tout à l'IUT de Reims pour une qualification d'ingénieur du conservatoire national des arts et métiers. Mais ses compétences professionnelles qui ont été rapidement remises en cause avec des méconnaissances qui ont frappé. Tant et si bien que des plaintes se sont faites entendre et ce, depuis 2007. La rédaction a contacté l'université de Reims personne ne connaît ce N.A. Même son de cloche à l'IUT. Le CNAM est pour sa part encore plus catégorique puisqu'après avoir vu le relevé de notes, il indique : “le document est un faux”. Les faits sont d'une extrême gravité. L'employeur peut poursuivre le faussaire en justice et réclamer la restitution de l'ensemble des salaires et avantages versés. Qui plus est, il s'agit de fonds publics détournés, ce qui constitue une circonstance particulièrement aggravante.
Source : KTV
Pour se faire embaucher, il n'a pas présenté son diplôme, mais un simple bulletin de notes démontrant qu'il a achevé ses études sur une belle réussite à l'université de Reims Champagne Ardenne. Le tout à l'IUT de Reims pour une qualification d'ingénieur du conservatoire national des arts et métiers. Mais ses compétences professionnelles qui ont été rapidement remises en cause avec des méconnaissances qui ont frappé. Tant et si bien que des plaintes se sont faites entendre et ce, depuis 2007. La rédaction a contacté l'université de Reims personne ne connaît ce N.A. Même son de cloche à l'IUT. Le CNAM est pour sa part encore plus catégorique puisqu'après avoir vu le relevé de notes, il indique : “le document est un faux”. Les faits sont d'une extrême gravité. L'employeur peut poursuivre le faussaire en justice et réclamer la restitution de l'ensemble des salaires et avantages versés. Qui plus est, il s'agit de fonds publics détournés, ce qui constitue une circonstance particulièrement aggravante.
Source : KTV