Cet été, Jacques Chirac ne s’est pas rendu à Saint-Tropez pour la première fois depuis 2007. Ce sont les deux femmes de sa vie qui l’em...
Cet été, Jacques Chirac ne s’est pas rendu à
Saint-Tropez pour la première fois depuis 2007. Ce sont les deux femmes
de sa vie qui l’empêcheraient de se montrer en public, prétextant son
mauvais état de santé…
Jacques Chirac
à la terrasse de Senéquier, c’est une des images de l’été. De chaque
été en fait, sauf cette année. Pour la première fois depuis qu’il n’est
plus président, Jacques a été privé de vacances – et de sortie. VSD raconte en effet que Claude et Bernadette cherchent à tout prix à cacher au public un homme « diminué ».Pas de Jacques qui mate les filles à la terrasse des cafés donc, pas de petit bisou qui dérape, même pas de moules-frites à Dinard, chez l’ami François Pinault, mais un été passé enfermé en Corrèze, loin des objectifs des photographes. « Depuis sa retraite, Chirac n’aime pas beaucoup la période estivale » selon un proche cité par VSD, qui évoque la surveillance permanente qui pèse sur l’ancien chef de l’état…
Pire qu’une surveillance, c’est carrément un état d’isolement total qui est imposé à Jacques Chirac, les rares visiteurs de son lieu de son château corrézien s’étant en effet fait refuser l’entrée à cause du « repos » de Jacques. Les autres, ceux qui ont obtenu un droit de passage, ont presque eu plus affaire à Claude et Bernadette qu’à leur ami.
Deux femmes dont l’influence est dénoncée par un baron gaulliste qui raconte qu’elles « éteignent la lumière autour de lui » mais qui décrit à demi-mots un « vieillard affaibli, usé, rongé par la maladie ». Un proche des Chirac confirme que l’ancien chef d’Etat est en effet « un homme qui n’a plus toute sa tête », et qui a « des difficultés à se mouvoir » ainsi qu’à entendre. Ce qui ne l’a pas empêché de faire bonne figure devant le président Hollande lors de leur rencontre le 20 juillet. Chirac avait même trouvé l’occasion d’en placer une pour Nicolas Sarkozy, un exemple de « dérapage » que Bernadette souhaiterait restreindre le plus possible en évitant les apparitions publiques. Protéger l’ancien président des autres, mais aussi de lui-même donc, en le gardant reclus. Mais, cabot, Jacques n’en fait toujours qu’à sa tête : la preuve, il se serait remis à cloper aux toilettes, comme un adolescent. Lu sur voici.fr