Selon le quotidien The European Union Times ( édité conjointement aux États-Unis et au Canada ), le président russe Vladimir Poutine a ...
Selon le quotidien The European Union Times (édité conjointement
aux États-Unis et au Canada), le président russe Vladimir Poutine a
distribué Mardi aux forces armées russes un « ordre d’action urgente »
autorisant « une frappe militaire de grande envergure contre l’Arabie
Saoudite au cas où les menaces occidentales contre la Syrie seront
exécutées ». La situation internationale est particulièrement tendue.
Les gouvernements américain, français ( britannique en retrait ) soufflent le chaud
et le froid depuis la soit-disant « attaque chimique du président syrien
contre son peuple ».
Plusieurs sources (russes, israéliennes, syrienne, américaines) indiquent que les frappes pourraient commencer dès mercredi prochain, à l’aide de missiles Tomahawks. Ces missiles sont de type « sol-sol », c’est-à-dire qu’ils sont conçus pour être tirés du sol (en l’occurrence, depuis des destroyers américains), pour viser une cible également au sol. En cas d’attaque contre la Syrie, Poutine attaquerait l’Arabie Saoudite. Il faut préciser que, auparavant, l’Arabie Saoudite avait fait une « proposition qu’on ne peut pas refuser » à la Russie : ou bien la Russie lâche Damas, et obtient ainsi des gains et des avantages sur le contrôle du marché pétrolier mondial, ou bien c’est l’Arabie Saoudite qui lâchera ses hordes de terroristes tchétchènes sur les J.O. d’hiver en Russie. L’information peut paraître surprenante, mais elle tout de même révélée par le journal britannique The Telegraph.
Plusieurs sources (russes, israéliennes, syrienne, américaines) indiquent que les frappes pourraient commencer dès mercredi prochain, à l’aide de missiles Tomahawks. Ces missiles sont de type « sol-sol », c’est-à-dire qu’ils sont conçus pour être tirés du sol (en l’occurrence, depuis des destroyers américains), pour viser une cible également au sol. En cas d’attaque contre la Syrie, Poutine attaquerait l’Arabie Saoudite. Il faut préciser que, auparavant, l’Arabie Saoudite avait fait une « proposition qu’on ne peut pas refuser » à la Russie : ou bien la Russie lâche Damas, et obtient ainsi des gains et des avantages sur le contrôle du marché pétrolier mondial, ou bien c’est l’Arabie Saoudite qui lâchera ses hordes de terroristes tchétchènes sur les J.O. d’hiver en Russie. L’information peut paraître surprenante, mais elle tout de même révélée par le journal britannique The Telegraph.