Furieux de se voir priver de relations sexuelles une énième fois le 14 juillet dernier par sa femme, un jeune ghanéen a malheureusement ...
Furieux de se voir priver de relations sexuelles une énième fois le 14 juillet dernier par sa femme, un jeune ghanéen a malheureusement tué sa compagne.
La mort de la dame est survenue lorsqu’après la dernière demande de sexe en date par l’homme, la femme a comme à son habitude opposé une fin de non recevoir à l’appétit de son mari. S’étant accaparé d’une barre de fer, le mari a assommé la tête de sa femme qui a succombé sur le champ.
Cette affaire de privation de sexe dans ce couple a duré 10 mois. De la narration des faits par le Commissaire de Police du district d’Agona, il ressort que le mari en se sentant coupable d’avoir tué sa femme, a voulu se suicider au prime abord mais la mort l’a raté.
La corde avec laquelle il a voulu se pendre s’est défaite au point d’attache de l’arbre et le malheureux homme tomba au pied de l’arbre dans un état d’inconscience totale.
Au moment où il a repris conscience à son réveil, il s’est rendu compte que des fourmis rodaient autours des taches de sang qu’il avait sur son corps. Affolé, il s’est relevé et a pris la route de sa maison en toute vitesse.
Mais les voisins immédiats ayant eu échos du drame qui s’est passé dans la maison du couple en question, ont arrêté le mari meurtrier pour le conduire au Commissariat de Police d’Agona. Là, il a été mis aux arrêts et des investigations ont été entamées pour savoir les réels motifs de ce meurtre.
Il a été présenté une première fois devant le tribunal de la localité qui n’a pas encore totalement conclu l’affaire. A la question du juge pourquoi il n’a pas cherché une femme avec qui assouvir ses relations sexuelles au lieu de s’attendre toujours à sa femme qui le prive, l’homme a expliqué au juge les circonstances qui l’ont forcé à poser son acte regrettable.
Le malheureux mari a confessé que durant les 10 mois où sa femme le privait de sexe, elle lui défendait d’avoir de petites amies et que les quelques demoiselles qu’il avait eu pour amies, son épouse les avait combattues avec rage.
Selon l’homme, c’est cette jalousie qui a obligé les filles qu’il courtisait à rompre toute relation avec lui. Le mari fautif devra recomparaitre devant le tribunal pour connaitre le sort qui lui sera réservé mais déjà le fait de n’avoir pas conclu un mariage légal avec sa défunte femme risque de lui coûter cher.
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