Le mariage, au début du siècle était avant tout considéré comme une stratégie de transmission de patrimoine entre deux familles plutôt...
Le mariage, au début du siècle était avant tout considéré comme une stratégie de transmission de patrimoine entre deux familles plutôt qu'une union amoureuse entre deux individus. A une époque où le célibat n'existait quasiment plus passé l'âge de trente ans, tout un réseau de solidarité fut créé de façon à ne pas retrouver en marge de la société ; donc célibataire. La « Belle Époque », une période où régnait joie de vivre et les plaisirs, les individus se rencontraient au travers de divers moyens.
Dans un premier, nous sommes en mesure de noter, qu'au village, et ce, plus qu'à la ville, plus de liberté fut donnée aux jeunes puisque dès l'enfance, ils se côtoient contrairement aux milieux de la bourgeoisie. Des lieux prédestinés au travail peuvent s'avérer comme un vecteur de rencontre.
Tout d'abord, nous pouvons citer les veillées, où des familles se réunissaient de façon à travailler. Ces veillées, favorables à la rencontre étaient fréquentées par tous les femmes et les hommes en âge de mariage.
Ensuite, second lieu de travail propice aux rencontres, le battage, malgré la séparation entre les hommes qui étaient à l'extérieur, et les femmes à l'intérieur, tout comme les veillées, il était de tradition qu'ils se retrouvent après l'effort donc le soir autour d'un repas convivial.
Par ailleurs, les fêtes populaires comme permettaient aux hommes et aux femmes de chaque village de se réunir en un même lieu.
Cependant, tous ces lieux favorables à la rencontre restaient malgré tout restreints car tous les jeunes de chaque village ou du village voisin se connaissaient depuis l'enfance, et se connaissaient pour le moins ; tous.
Toujours dans les villages, les marchés pouvaient s'avérer efficaces malgré que la séparation des sexes soit toujours importante. En effet, les hommes vendaient et restaient donc toute la journée tandis que les femmes venaient juste le temps de leurs achats.
Dans cette même optique, de nombreux lieux de distraction font leur apparition et se développent en ville tels que les restaurants.
Même si en milieu urbain et ce, plus qu'en ville il y avait une recherche du plaisir, la rencontre devait conduire indubitablement au mariage qui se devait d'être faite intérêt.
Malgré tout, même si il est de pensée commune de se dire que l'hétérogamie existait; des études révèlent que les origines sociales des conjoints sont majoritairement identiques. En effet, l'hétérogamie n'est qu'une apparence ou tient de l'exception. Un mariage était avant out une manière de faire perdurer un patrimoine. Les schémas de vie étaient déjà plus ou moins définis à l'avance par les familles entre elles et peu, cherchaient à les remettre en cause. Lu sur lasenegalaise.com
Dans un premier, nous sommes en mesure de noter, qu'au village, et ce, plus qu'à la ville, plus de liberté fut donnée aux jeunes puisque dès l'enfance, ils se côtoient contrairement aux milieux de la bourgeoisie. Des lieux prédestinés au travail peuvent s'avérer comme un vecteur de rencontre.
Tout d'abord, nous pouvons citer les veillées, où des familles se réunissaient de façon à travailler. Ces veillées, favorables à la rencontre étaient fréquentées par tous les femmes et les hommes en âge de mariage.
Ensuite, second lieu de travail propice aux rencontres, le battage, malgré la séparation entre les hommes qui étaient à l'extérieur, et les femmes à l'intérieur, tout comme les veillées, il était de tradition qu'ils se retrouvent après l'effort donc le soir autour d'un repas convivial.
Par ailleurs, les fêtes populaires comme permettaient aux hommes et aux femmes de chaque village de se réunir en un même lieu.
Cependant, tous ces lieux favorables à la rencontre restaient malgré tout restreints car tous les jeunes de chaque village ou du village voisin se connaissaient depuis l'enfance, et se connaissaient pour le moins ; tous.
Toujours dans les villages, les marchés pouvaient s'avérer efficaces malgré que la séparation des sexes soit toujours importante. En effet, les hommes vendaient et restaient donc toute la journée tandis que les femmes venaient juste le temps de leurs achats.
Dans cette même optique, de nombreux lieux de distraction font leur apparition et se développent en ville tels que les restaurants.
Même si en milieu urbain et ce, plus qu'en ville il y avait une recherche du plaisir, la rencontre devait conduire indubitablement au mariage qui se devait d'être faite intérêt.
Malgré tout, même si il est de pensée commune de se dire que l'hétérogamie existait; des études révèlent que les origines sociales des conjoints sont majoritairement identiques. En effet, l'hétérogamie n'est qu'une apparence ou tient de l'exception. Un mariage était avant out une manière de faire perdurer un patrimoine. Les schémas de vie étaient déjà plus ou moins définis à l'avance par les familles entre elles et peu, cherchaient à les remettre en cause. Lu sur lasenegalaise.com