A Madagascar, c’est à partir d’aujourd’hui, lundi 8 avril, que les candidats à la présidentielle peuvent venir déposer leur dossier auprès d...
A Madagascar, c’est à partir d’aujourd’hui, lundi 8 avril, que les candidats à la présidentielle peuvent venir déposer leur dossier auprès de la Cour électorale spéciale. La loi organique sur l’élection du président, adoptée l’année dernière, prévoit des conditions très strictes. Elles devraient éliminer plusieurs des nombreux prétendants. Ils sont pour l’instant une trentaine à vouloir s’aligner.
Officiellement investi ce week-end, le candidat du parti d’Andry Rajoelina, Edgard Razafindravahy est venu allonger la longue liste des postulants.
L’actuel maire de transition d’Antananarivo devra affronter au moins deux autres prétendants issus du camp du président de la transition. A trois mois et demi du premier tour de la présidentielle, la mouvance Rajoelina apparaît divisée.
Celle de son rival Marc Ravalomanana est encore indécise. Aucun de ses leaders n’envisage pour l’instant de se présenter avant le retour sur l’île de l’ancien président.
En tout, une trentaine de personnes se sont déclarées candidates : pasteur, professeur, architecte, médecin, politicien.
Tous ne seront sans doute pas sur la ligne de départ le 3 mai prochain, lorsque la Cour électorale spéciale arrêtera la liste des prétendants autorisés à se présenter. Selon la loi, chaque candidat doit verser une caution d’environ 17 000 euros pour les frais électoraux, et doit résider depuis au moins six mois à Madagascar à compter du 28 avril, date limite du dépôt des dossiers de candidature. Par RFI
L’actuel maire de transition d’Antananarivo devra affronter au moins deux autres prétendants issus du camp du président de la transition. A trois mois et demi du premier tour de la présidentielle, la mouvance Rajoelina apparaît divisée.
Celle de son rival Marc Ravalomanana est encore indécise. Aucun de ses leaders n’envisage pour l’instant de se présenter avant le retour sur l’île de l’ancien président.
En tout, une trentaine de personnes se sont déclarées candidates : pasteur, professeur, architecte, médecin, politicien.
Tous ne seront sans doute pas sur la ligne de départ le 3 mai prochain, lorsque la Cour électorale spéciale arrêtera la liste des prétendants autorisés à se présenter. Selon la loi, chaque candidat doit verser une caution d’environ 17 000 euros pour les frais électoraux, et doit résider depuis au moins six mois à Madagascar à compter du 28 avril, date limite du dépôt des dossiers de candidature. Par RFI
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