La quatrième édition du prix des musiques de l’océan Indien a été lancée jeudi à Saint-Denis. Le concours qui rassemble les îles de la r...
La quatrième édition du prix des musiques de l’océan Indien a été
lancée jeudi à Saint-Denis. Le concours qui rassemble les îles de la
région (la Réunion, les Comores , Madagascar, Maurice, Rodrigues
et les Seychelles) a pour objectif d’apporter une aide à la
professionnalisation à un artiste ou un groupe de la zone. Le principe
du prix est simple : il suffit de résider sur l’une des îles pour
pouvoir participer. Les concurrents doivent envoyer un CD de six
musiques actuelles (en opposition avec les musiques traditionnelles),
qu’il s’agisse de compositions originales, d’adaptations ou
d’arrangements.
Une sélection est ensuite effectuée par les membres du jury parmi tous les artistes - ils étaient deux cents à participer lors de la dernière édition - et trois sont retenus pour la grande finale, qui aura lieu cette année le 8 novembre au Palaxa, à Saint-Denis. Pour Patrick Mathieu, délégué régional de la Sacem (l’organisation est un membre fondateur du prix), c’est « une opportunité de tout premier plan. Avoir la possibilité aujourd’hui de bénéficier d’une formation et avoir la possibilité de se produire lors de différents festivals en France et à l’étranger est une chance très rare ». Car en effet, la récompense offerte au vainqueur n’est pas une somme d’argent comme dans nombre de télé-crochets télévisés…
Ici, le gagnant remporte une formation pour se perfectionner lors de ses concerts, ainsi que la possibilité d’apparaître dans des univers très variés. Bo Houss, vainqueur de l’édition 2011, raconte : « C’était génial d’être sur scène au Maroc devant quarante mille personnes, je vis un rêve. Et je suis en même temps confronté à la réalité du métier et à ses difficultés ». Mais le but du prix n’est pas de former des stars, Patrick Mathieu précise que le prix « donne une impulsion à l’artiste, mais c’est à lui de se débrouiller et de saisir la dynamique ».
Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 15 mai. Pour des renseignements complémentaires : www.prixmusiquesoceanindien.com
Bastien Renouil
Journal de la Réunion
Une sélection est ensuite effectuée par les membres du jury parmi tous les artistes - ils étaient deux cents à participer lors de la dernière édition - et trois sont retenus pour la grande finale, qui aura lieu cette année le 8 novembre au Palaxa, à Saint-Denis. Pour Patrick Mathieu, délégué régional de la Sacem (l’organisation est un membre fondateur du prix), c’est « une opportunité de tout premier plan. Avoir la possibilité aujourd’hui de bénéficier d’une formation et avoir la possibilité de se produire lors de différents festivals en France et à l’étranger est une chance très rare ». Car en effet, la récompense offerte au vainqueur n’est pas une somme d’argent comme dans nombre de télé-crochets télévisés…
Ici, le gagnant remporte une formation pour se perfectionner lors de ses concerts, ainsi que la possibilité d’apparaître dans des univers très variés. Bo Houss, vainqueur de l’édition 2011, raconte : « C’était génial d’être sur scène au Maroc devant quarante mille personnes, je vis un rêve. Et je suis en même temps confronté à la réalité du métier et à ses difficultés ». Mais le but du prix n’est pas de former des stars, Patrick Mathieu précise que le prix « donne une impulsion à l’artiste, mais c’est à lui de se débrouiller et de saisir la dynamique ».
Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 15 mai. Pour des renseignements complémentaires : www.prixmusiquesoceanindien.com
Bastien Renouil
Journal de la Réunion
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