C'est un mystère des dessous de la République qui risque d'être levé. Le Point.fr est en mesure de révéler que l'ancienne ga...
C'est un mystère des dessous de la République qui risque d'être levé. Le Point.fr est en mesure de révéler que l'ancienne garde des Sceaux Rachida Dati a assigné Dominique Desseigne, le P-DG du groupe de casinos et hôtelsLucien Barrière, devant un tribunal civil hors de Paris pour "reconnaissance de paternité". Une information confirmée par Dominique Desseigne lui-même, que le Point.fr a joint lundi soir par téléphone. "Je n'ai aucun commentaire à faire, sinon la justice me le reprocherait", s'est-il contenté de préciser.
Rachida Dati, actuelle maireUMP du 7e arrondissement de Paris, a toujours refusé de révéler le nom du père de sa fille Zohra, dont elle a accouché, le 2 janvier 2009, à la clinique de la Muette dans le 16e arrondissement de Paris. Un silence pour protéger sa vie privée qui a suscité les rumeurs les plus folles. Vedettes du show-biz, grands patrons du CAC 40, entraîneur de rugby, journalistes, animateurs télé..., la liste des noms du père supposé de sa fille parue dans la presse est longue. Mais de toutes les supputations, c'est sans conteste celle désignant l'ancien Premier ministre espagnol José María Aznar en personne qui a eu le plus de répercussions politiques, obligeant le personnage à démentir par un communiqué officiel cette paternité.
"Oui, j'ai un homme dans ma vie..."
Aujourd'hui, en assignant Dominique Desseigne, Rachida Dati donne elle-même l'identité de celui qui serait le père de sa fille Zohra. Le nom de Dominique Desseigne avait été déjà avancé par la presse. Mais selon un de ses proches, le P-DG a toujours nié être le père de cet enfant. La justice sera-t-elle contrainte de procéder à des tests de paternité pour savoir si Dominique Desseigne est bien le père ? Contactée ce matin par Le Point.fr, Rachida Dati dément nos informations.
Interviewée, début janvier, par le magazine Elle, Rachida Dati avait refusé de décliner l'identité du père "pour ne pas le gêner" et garder "une partie de [sa] vie intime". Elle poursuivait ainsi : "Oui, j'ai un homme dans ma vie et je le préserve plus que tout...". Lepoint.fr,voici.fr
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