Oubliez le temps en Afrique. La société africaine semble s’être habituée à cela. La vraie question est la femme et la gestion du temps. ...
Oubliez le temps en Afrique. La société africaine semble s’être habituée à cela. La vraie question est la femme et la gestion du temps. Dites moi une personne qui n'a pas subi les effets désastreux d'une femme qui ne veut/peut tout simplement pas respecter le temps, et je vais vous prouver que cette personne n'existe pas, et non plus dans la société Comorienne, à moins que ce ne soit un fantôme !
J'ai connue une amie de travail en Afrique de l’Est qui s’appelait Joyeuse. Joyeuse était une invocation de son nom, une vraie joie d'avoir Joyeuse autour. Avec sa couleur noire, elle était une vraie beauté africaine. Elle était aussi sociale, « playful » d'une manière non-gênante et généralement brillante. Une déesse? Peut-être, et ce n'est pas parce qu'elle était une amie de travail que j’admirais ses qualités. Mais elle était une rose, jusqu'à ce que vous faites un rendez-vous avec elle, ou aviez à aller quelque part avec elle.
Joyeuse enlèverait la plus grande joie de tous ceux qu'elle devait voyager avec. Nous avions une tradition au travail, derrière son dos, que si vous aviez à partir pour n’importe où à 10h00 avec elle, Il fallait dire à Joyeuse que la dernière heure pour partir était 7h00. Ainsi, vers 8h, elle commençait à se préparer, et à 9h45 elle est criante joyeusement dans sa chambre au téléphone: j’arrive!
Je me suis toujours demandé pourquoi je suis opposé à ces réponses « je / il / elle / ils /elles / » arrive, et maintenant je comprends. Je me rappelle de ma joyeuse enfance. A la reprise des classes, à chaque fois que le professeur demandait aux garçons de la classe: Où sont les filles, on répondait toujours par un «elles arrivent».
J’ai fréquenté le collège de Foumbouni dans le Mbadjini Itsahidi en Grande Comores. Là, marcher lentement était un crime vu la distance qui séparait mon village Malé, et l’établissement scolaire, et on devait toujours courir pour être ou ne pas être à l’heure. [next] Pourtant, même là, avec tout le monde qui courait pour aller à l’école, les filles ont toujours réussi à se faire refuser pour être en retard. Disons que sur 10 personnes refusées pour être en retard, vous étiez sûr qu'environ deux seraient des garçons, les huit étant des filles.
Au cours de mes études à l'université de Makerere en Ouganda, il y avait cette fille que j’étais particulièrement intéressé, pour des raisons purement platonique je dois ajouter de peur que quelqu’un demande le numéro de ma princesse aimée! Eh bien, nous avions l’habitude de temps en temps d’aller ici ou là, pour telle ou telle raison. Un jour pour visiter un parc national, un autre pour visiter une île, ainsi de suite... Si elle vous dit venez me chercher à 14h00, et vous allez chez elle à 14h00, soyez prêt à quitter au moins une heure plus tard. Un jour, nous deux et d’autres amis avions prévu de sortir ensemble pour un samedi. Vous savez samedi, tout comme n'importe quel autre jour, a seulement 12 heures de temps par jour, dont nous étions décidés à faire le meilleur. Les gars étaient au point de rencontre dans le temps, cela va sans dire. La première fille arrive avec une heure de retard, ce qui était normal. A cet instant, cette autre fille n’est nulle part pour être vu. Le départ est prévu à 8h00. 9h00, rien du tout. 10h, 11h, ... à 11h45, elle apparaît, tout illuminée par la joie, comme si elle avait cinq heures d’avance. Le pire c’est qu’aucun de nous ne pouvait se plaindre car elle était intelligente et bien habillée!
Demandez aux hommes qui conduisent leurs familles (si ces familles comprennent des femmes) combien de fois ils arrivent dans les fêtes dans une ambiance frustrante. Si la fête commence à 8 heures, les dames seront prêtes à sortir à 8h30; si elle commence à 09h00, elles seront prêtes à 9h45, et si c’est à 10h00 ce sera aux alentours de 11h00. Puis elles demandent en entrant dans la voiture: Vous ai-je causé un retard? Et avant que vous répondiez, elles offrent un doux «pardon», ouvre le sac, et commencent à se maquiller en utilisant le rétroviseur!
J'ai un pressentiment que les femmes s’étaient rencontrée quelque part et se sont demandée: Que pouvons nous faire à ces fils de malheureux garçons qui nous blessent à gauche, à droite et au centre? Et la réponse unanime était: leur refuser ce qu'ils aiment le plus - une femme qui garde l’heure.
Ainsi, laissez-moi vous dire mesdames, vous vous êtes toujours trompées sur ce qu’est la femme n°1 pour un homme: Ce n'est pas autre chose, c'est que vous respectiez le temps. Okay? Cela n’épargne pas les garçons bien sûre. S'il vous plaît respectez l’heure que nous n'avons pas toujours entre nos mains. D'ailleurs, si nous utilisons toute l'éternité cette seule fois, quand aurions nous donc une autre opportunité?
Par Adinani Toahert Ahamada
J'ai connue une amie de travail en Afrique de l’Est qui s’appelait Joyeuse. Joyeuse était une invocation de son nom, une vraie joie d'avoir Joyeuse autour. Avec sa couleur noire, elle était une vraie beauté africaine. Elle était aussi sociale, « playful » d'une manière non-gênante et généralement brillante. Une déesse? Peut-être, et ce n'est pas parce qu'elle était une amie de travail que j’admirais ses qualités. Mais elle était une rose, jusqu'à ce que vous faites un rendez-vous avec elle, ou aviez à aller quelque part avec elle.
Joyeuse enlèverait la plus grande joie de tous ceux qu'elle devait voyager avec. Nous avions une tradition au travail, derrière son dos, que si vous aviez à partir pour n’importe où à 10h00 avec elle, Il fallait dire à Joyeuse que la dernière heure pour partir était 7h00. Ainsi, vers 8h, elle commençait à se préparer, et à 9h45 elle est criante joyeusement dans sa chambre au téléphone: j’arrive!
Je me suis toujours demandé pourquoi je suis opposé à ces réponses « je / il / elle / ils /elles / » arrive, et maintenant je comprends. Je me rappelle de ma joyeuse enfance. A la reprise des classes, à chaque fois que le professeur demandait aux garçons de la classe: Où sont les filles, on répondait toujours par un «elles arrivent».
J’ai fréquenté le collège de Foumbouni dans le Mbadjini Itsahidi en Grande Comores. Là, marcher lentement était un crime vu la distance qui séparait mon village Malé, et l’établissement scolaire, et on devait toujours courir pour être ou ne pas être à l’heure. [next] Pourtant, même là, avec tout le monde qui courait pour aller à l’école, les filles ont toujours réussi à se faire refuser pour être en retard. Disons que sur 10 personnes refusées pour être en retard, vous étiez sûr qu'environ deux seraient des garçons, les huit étant des filles.
Au cours de mes études à l'université de Makerere en Ouganda, il y avait cette fille que j’étais particulièrement intéressé, pour des raisons purement platonique je dois ajouter de peur que quelqu’un demande le numéro de ma princesse aimée! Eh bien, nous avions l’habitude de temps en temps d’aller ici ou là, pour telle ou telle raison. Un jour pour visiter un parc national, un autre pour visiter une île, ainsi de suite... Si elle vous dit venez me chercher à 14h00, et vous allez chez elle à 14h00, soyez prêt à quitter au moins une heure plus tard. Un jour, nous deux et d’autres amis avions prévu de sortir ensemble pour un samedi. Vous savez samedi, tout comme n'importe quel autre jour, a seulement 12 heures de temps par jour, dont nous étions décidés à faire le meilleur. Les gars étaient au point de rencontre dans le temps, cela va sans dire. La première fille arrive avec une heure de retard, ce qui était normal. A cet instant, cette autre fille n’est nulle part pour être vu. Le départ est prévu à 8h00. 9h00, rien du tout. 10h, 11h, ... à 11h45, elle apparaît, tout illuminée par la joie, comme si elle avait cinq heures d’avance. Le pire c’est qu’aucun de nous ne pouvait se plaindre car elle était intelligente et bien habillée!
Demandez aux hommes qui conduisent leurs familles (si ces familles comprennent des femmes) combien de fois ils arrivent dans les fêtes dans une ambiance frustrante. Si la fête commence à 8 heures, les dames seront prêtes à sortir à 8h30; si elle commence à 09h00, elles seront prêtes à 9h45, et si c’est à 10h00 ce sera aux alentours de 11h00. Puis elles demandent en entrant dans la voiture: Vous ai-je causé un retard? Et avant que vous répondiez, elles offrent un doux «pardon», ouvre le sac, et commencent à se maquiller en utilisant le rétroviseur!
J'ai un pressentiment que les femmes s’étaient rencontrée quelque part et se sont demandée: Que pouvons nous faire à ces fils de malheureux garçons qui nous blessent à gauche, à droite et au centre? Et la réponse unanime était: leur refuser ce qu'ils aiment le plus - une femme qui garde l’heure.
Ainsi, laissez-moi vous dire mesdames, vous vous êtes toujours trompées sur ce qu’est la femme n°1 pour un homme: Ce n'est pas autre chose, c'est que vous respectiez le temps. Okay? Cela n’épargne pas les garçons bien sûre. S'il vous plaît respectez l’heure que nous n'avons pas toujours entre nos mains. D'ailleurs, si nous utilisons toute l'éternité cette seule fois, quand aurions nous donc une autre opportunité?
Par Adinani Toahert Ahamada