Originaire des Comores, né à Marseille, Ali M’Madi a gravi un à un les échelons avec Evian Thonon-Gaillard. Depuis le début de saison, le...
Originaire des Comores, né à Marseille,
Ali M’Madi a gravi un à un les échelons avec Evian Thonon-Gaillard.
Depuis le début de saison, le vif petit gabarit appartient même au
groupe - élargi - des révélations de la saison. Victime d’une déchirure à
l’entraînement, il ne pourra être au Vélodrome ce soir. À son grand
regret.
Ali, tu as grandi à Marseille, mais tu n’as jamais joué à l’OM…
Ali M’Madi : "J’ai joué à Septème, Saint-Antoine, Vitrolles, mais je suis parti à Cannes en centre de formation. Cependant, l’OM, c’est mon club de cœur, je les ai toujours supportés, même encore aujourd’hui. Je n’étais pas du genre à aller au stade toutes les semaines, mais ça ne veut pas dire que je ne savais pas tout ce qui se passait. Quand on les a joués en match d’avant-saison en amical, ça m’a fait quelque chose. En sachant aussi que mes potes regardaient le match. Avant la rencontre, j’avais reçu des textos du type : « On est pour l’OM, mais casse des reins ! »."
Du coup, ta blessure avant de venir jouer à Marseille a dû te contrarier.
A.M : "C’est un des premiers trucs auquel j’ai pensé. J’étais dégouté de rater ce match. J’ai mes collègues, la famille qui a essayé de me remonter le moral, mais ce n’est pas le moment, j’aurais préféré les voir au Vélodrome."
Tu as beau être un joueur d’Evian, il paraît que tu regardes encore les matchs de l’OM.
A.M : "Dès que je peux les regarder, comme jeudi contre Fenerbahçe, je le fais. Je les suis d’autant plus cette année, il y a un collègue à moi, Florent Raspentino. On a joué ensemble à Vitrolles et à Septème. Après, je connais aussi le frère de Kassim Abdallah, mais pas lui personnellement."
Le fait de les voir signer te donne peut-être des envies, un espoir pour la suite ?
A.M : "Évidemment, si l’occasion se présente, je ne dirais pas non. Après, je me concentre sur Evian, j’essaie déjà de prouver ici avant de voir plus haut. Si c’est l’OM, tant mieux."
Tu t’attends à quoi pour ce OM – ETG ?
A.M : "J’espère qu’on verra un beau match. Et puis tiens, puisque j’y pense, j’espère surtout que Flo va me mettre son maillot de côté. Je vais lui envoyer un texto."
Ali, tu as grandi à Marseille, mais tu n’as jamais joué à l’OM…
Ali M’Madi : "J’ai joué à Septème, Saint-Antoine, Vitrolles, mais je suis parti à Cannes en centre de formation. Cependant, l’OM, c’est mon club de cœur, je les ai toujours supportés, même encore aujourd’hui. Je n’étais pas du genre à aller au stade toutes les semaines, mais ça ne veut pas dire que je ne savais pas tout ce qui se passait. Quand on les a joués en match d’avant-saison en amical, ça m’a fait quelque chose. En sachant aussi que mes potes regardaient le match. Avant la rencontre, j’avais reçu des textos du type : « On est pour l’OM, mais casse des reins ! »."
Du coup, ta blessure avant de venir jouer à Marseille a dû te contrarier.
A.M : "C’est un des premiers trucs auquel j’ai pensé. J’étais dégouté de rater ce match. J’ai mes collègues, la famille qui a essayé de me remonter le moral, mais ce n’est pas le moment, j’aurais préféré les voir au Vélodrome."
Tu as beau être un joueur d’Evian, il paraît que tu regardes encore les matchs de l’OM.
A.M : "Dès que je peux les regarder, comme jeudi contre Fenerbahçe, je le fais. Je les suis d’autant plus cette année, il y a un collègue à moi, Florent Raspentino. On a joué ensemble à Vitrolles et à Septème. Après, je connais aussi le frère de Kassim Abdallah, mais pas lui personnellement."
Le fait de les voir signer te donne peut-être des envies, un espoir pour la suite ?
A.M : "Évidemment, si l’occasion se présente, je ne dirais pas non. Après, je me concentre sur Evian, j’essaie déjà de prouver ici avant de voir plus haut. Si c’est l’OM, tant mieux."
Tu t’attends à quoi pour ce OM – ETG ?
A.M : "J’espère qu’on verra un beau match. Et puis tiens, puisque j’y pense, j’espère surtout que Flo va me mettre son maillot de côté. Je vais lui envoyer un texto."
R.Ca.lephoceen.fr