Il y avait eu l'affaire du tweet malheureux signé Valérie Trierweiler. Loin de Paris, elle allait pouvoir souffler, croyait-elle... L...
Il y avait eu l'affaire du tweet malheureux signé Valérie Trierweiler. Loin de Paris, elle allait pouvoir souffler, croyait-elle... Les Paparazzis de Match et de VSD ont encore "shooté" Valérie Trierweiler ! Dur, dur d'être première dame.
Ce matin, Valérie Trierweiler doit sans doute regretter le temps où elle n’était « que » journaliste. C’est vrai, son rôle de première dame lui accorde quelques privilèges. Comme celui de réaliser, dans la rubrique culture qu’elle a fraichement intégrée, les entretiens-phares de Paris Match. Dans l'édition de cette semaine, elle signe deux pages d’interview avec l’écrivain notoirement reconnue comme pondeuse (régulière) de best-sellers, Amélie Nothomb. Un entretien réalisé avant son départ pour le fort de Brégançon où elle allait enfin pouvoir souffler. Enfin le croyait-elle !
Il a fallu une toute petite semaine après leur arrivée dans le lieu de villégiature présidentiel, pour que « Valérie » – c’est ainsi que l’appelle Paris Match en une – se retrouve exposée, shootée à son insu par un paparazzi et pas vraiment mise en valeur, dans les pages de son propre journal et celles de VSD titré – assez peu élégamment – «normaux jusqu'au bout du maillot».
Ce même jour où l’on dévoilait les –mauvais– résultats de son livre. Le roman-photo retraçant les 400 jours d’accession au pouvoir de son « homme » s’est vendu à quelques 1174 exemplaires selon Edistat. Un flop total. Eh oui, bien des choses ont changé depuis le 6 mai dernier. Peut-être Valérie Trierweiler attend-elle désormais la rentrée avec impatience ? Sauf qu’à la rentrée, il y aura cette pluie de livres dont elle sera le sujet (1). Un calvaire cette vie de première dame !
(1) La Favorite de Laurent Greilsamer publié chez Fayard; Valérie Trierweiler, le coeur du pouvoir de Christophe Jakubyszyn et Alix Bouilhaguet aux Éditions du Moment et un essai d'Anna Cabana et Anne Rosencher (dont le titre n’est pas encore choisi) à paraître chez Grasset.
Il a fallu une toute petite semaine après leur arrivée dans le lieu de villégiature présidentiel, pour que « Valérie » – c’est ainsi que l’appelle Paris Match en une – se retrouve exposée, shootée à son insu par un paparazzi et pas vraiment mise en valeur, dans les pages de son propre journal et celles de VSD titré – assez peu élégamment – «normaux jusqu'au bout du maillot».
Ce même jour où l’on dévoilait les –mauvais– résultats de son livre. Le roman-photo retraçant les 400 jours d’accession au pouvoir de son « homme » s’est vendu à quelques 1174 exemplaires selon Edistat. Un flop total. Eh oui, bien des choses ont changé depuis le 6 mai dernier. Peut-être Valérie Trierweiler attend-elle désormais la rentrée avec impatience ? Sauf qu’à la rentrée, il y aura cette pluie de livres dont elle sera le sujet (1). Un calvaire cette vie de première dame !
(1) La Favorite de Laurent Greilsamer publié chez Fayard; Valérie Trierweiler, le coeur du pouvoir de Christophe Jakubyszyn et Alix Bouilhaguet aux Éditions du Moment et un essai d'Anna Cabana et Anne Rosencher (dont le titre n’est pas encore choisi) à paraître chez Grasset.
Journaliste chez Marianne, notamment en charge des médias En savoir plus sur cet auteur
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