D’après une journaliste du Point, lorsque Valérie Trierweiler a envoyé le tweet contre Ségolène Royal, elle savait parfaitement ce qu’elle ...
D’après une journaliste du Point, lorsque Valérie Trierweiler a envoyé le tweet contre Ségolène Royal, elle savait parfaitement ce qu’elle faisait. Tout serait parti d’une dispute avec François Hollande.
« À aucun moment je n’ai été interventionniste », jurait Valérie Trierweiler le 7 juin sur France Inter. Mais ça, c’était avant. Avant le 12 juin et son tweet de soutien à l’adversaire de Ségolène Royal aux législatives à La Rochelle : « Courage à Olivier Falorni qui n’a pas démérité, qui se bat aux côtés des Rochelais depuis tant d’années dans un engagement désintéressé. » Un message de 135 signes qui a enflammé la scène politique et provoqué l’ire de François Hollande.
À l’origine de ce tweet, il y aurait, d’après une journaliste du Point, une dispute entre le président de la République et Valérie Trierweiler. La raison ? Il s’est publiquement affiché en faveur de son ex-compagne et mère de ses quatre enfants, dans la profession de foi de Ségo : « Dans cette circonscription de Charente-Maritime, Ségolène Royal est l’unique candidate de la majorité présidentielle qui peut se prévaloir de mon soutien et de mon appui ». Une démarche qu’il aurait entamée sans consulter sa compagne actuelle. Qui n’aurait que moyennement apprécié ce soutien à son ex. Valérie Trierweiler l’aurait alors mis en garde : « Tu as pris position en faveur de Royal sans me le dire. Tu vas voir de quoi je suis capable ! »
Un scénario, qui, s’il est avéré, ferait un excellent thème pour une telenovela.
Source : voici.fr
COMMENTAIRES