Décidément on ne respecte plus rien en ces temps qui courent. Même pas les cathédrales. La preuve, comment peut-on imaginer qu’un individu...
Décidément on ne respecte plus rien en ces temps qui courent. Même pas les cathédrales. La preuve, comment peut-on imaginer qu’un individu, qui ne peut qu’être malintentionné, parvient à s’introduire dans le sacrosaint bureau du gouverneur Mohamed Ali Saïd sans avoir, selon les premiers éléments d’une enquête menée tambour battant, à forcer une porte ou fenêtre.
Le comble, c’est que l’intrus n’a trouvé mieux à emporter, de la pièce, que le non moins sacrosaint ordinateur portable du premier magistrat de l’île. Ceci est d’autant plus inquiétant que cela démontre que même de hauts responsables du pays ne sont pas à l’abri d’un coup tordu.
Evidemment, comme il se doit et qu’on peut s’y attendre, tous les policiers et les Sherlock Homes de l’île de Djumbe Fatima sont sur le pied de guerre et une course folle s’est engagée pour savoir qui va être celui qui va rapporter le saint objet au grand homme. Mais qu’est ce qu’il peut y avoir dans l’ordi du gouverneur? Telle est la question que toute personne se pose désormais sans en avoir, toutefois, de réponse sinon des suppositions.
Mohamed Ali, seul, a la réponse et il la livre ainsi : “si cette personne s’attend à tomber sur une quelconque affaire d’Etat, il sera déçu car il aurait été mieux inspiré d’aller cambrioler celui de mon directeur de cabinet ou secrétaire où l’on trouve habituellement ces genres de choses“, aurait confié le gouverneur à un de ses proches.
En attendant, des hommes, considérés comme bien car détenant pouvoir et ayant accès dans le fameux bureau, sont entendus par des enquêteurs convaincus de la sagesse d’un ivrogne qu’on accusait d’avoir volé une natte dans une mosquée et qui avait indiqué à ceux qui l’accusaient qu’avec un pareil acte vaut mieux voir du côté de l’imam ou du muezzin. Comme on dit, l’affaire est à suivre !
Riziki:alwatwan
Evidemment, comme il se doit et qu’on peut s’y attendre, tous les policiers et les Sherlock Homes de l’île de Djumbe Fatima sont sur le pied de guerre et une course folle s’est engagée pour savoir qui va être celui qui va rapporter le saint objet au grand homme. Mais qu’est ce qu’il peut y avoir dans l’ordi du gouverneur? Telle est la question que toute personne se pose désormais sans en avoir, toutefois, de réponse sinon des suppositions.
Mohamed Ali, seul, a la réponse et il la livre ainsi : “si cette personne s’attend à tomber sur une quelconque affaire d’Etat, il sera déçu car il aurait été mieux inspiré d’aller cambrioler celui de mon directeur de cabinet ou secrétaire où l’on trouve habituellement ces genres de choses“, aurait confié le gouverneur à un de ses proches.
En attendant, des hommes, considérés comme bien car détenant pouvoir et ayant accès dans le fameux bureau, sont entendus par des enquêteurs convaincus de la sagesse d’un ivrogne qu’on accusait d’avoir volé une natte dans une mosquée et qui avait indiqué à ceux qui l’accusaient qu’avec un pareil acte vaut mieux voir du côté de l’imam ou du muezzin. Comme on dit, l’affaire est à suivre !
Riziki:alwatwan
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