Le vice-président en charge du ministère des Finances publiques, Mohamed Ali Soilihi, a tenu une conférence de presse, hier, jeudi 12 avril,...
Le vice-président en charge du ministère des Finances publiques, Mohamed Ali Soilihi, a tenu une conférence de presse, hier, jeudi 12 avril, pour faire part de son élection à la tête du Conseil des gouverneurs de la Banque islamique de développement (Bid) pour l'exercice 2012-2013. Cette nomination à la plus haute instance politique de la Bid intervient dans le sillage de la 37éme Réunion annuelle du Conseil des gouverneurs de l'institution financière islamique, qui s'est tenue à Khartoum du 3 au 4 avril.
"Ce geste, venant de la part d'une si haute institution telle la Banque islamique, marque sans doute une grande considération pour le pays et pour le travail et la gouvernance financière accomplis ces derniers mois par le gouvernement comorien", s'est réjouit, à cette occasion, le vice-président. Un "encouragement", selon la vice-présidence, à poursuivre dans la voie qui doit conduire le pays au rendez vous de décembre 2012 avec le Fond monétaire international et la Banque mondiale en vue de l'achèvement du programme Ippte.
Le Conseil des gouverneurs est l'instance politique qui a pour rôle de donner les orientations à la Banque. Notons que les Comores, qui n'ont pas accès au guichet prêt à cause des arriérés cumulés, bénéficient néanmoins des appuis sous formes d'aides. L'arriéré de cette dette est évalué, selon le ministère des Finances à 6 millions de dollars. Quant à l'encours de cette dette, il serait à des proportions très élevées, selon toujours la même source. Par ailleurs, la vice-présidence a fait mention de la réunion des ministres des Finances et des gouverneurs des banques de la zone Franc, qui s'est tenue à Paris, également ce mois d'avril.
Sur les questions qui dominent l'actualité nationale, particulièrement sur le dossier consacré par le n°14 du mois d'avril d'Al watwan Magazine aux Finances publiques, le vice-président Mohamed Ali Soilihi a qualifié les écrits des journalistes d'Al-watwan de "tout simplement faux". "L'Etat a installé une gazette pour diffuser ce qui marche et non pour insinuer sur ce qui ne marche pas", a-t-il laissé entendre.
Revenant à la charge, le vice-président a lâché : "à quelques semaines du départ d'une mission du Fonds monétaire international, qui, d'ailleurs, a salué les efforts de reformes entamées par le gouvernement, que de tels écrits soient relayés, cela ne peut relever que de l'ignorance ou d'une volonté de nuisance".
Kamardine soulé:alwatwan
"Ce geste, venant de la part d'une si haute institution telle la Banque islamique, marque sans doute une grande considération pour le pays et pour le travail et la gouvernance financière accomplis ces derniers mois par le gouvernement comorien", s'est réjouit, à cette occasion, le vice-président. Un "encouragement", selon la vice-présidence, à poursuivre dans la voie qui doit conduire le pays au rendez vous de décembre 2012 avec le Fond monétaire international et la Banque mondiale en vue de l'achèvement du programme Ippte.
Le Conseil des gouverneurs est l'instance politique qui a pour rôle de donner les orientations à la Banque. Notons que les Comores, qui n'ont pas accès au guichet prêt à cause des arriérés cumulés, bénéficient néanmoins des appuis sous formes d'aides. L'arriéré de cette dette est évalué, selon le ministère des Finances à 6 millions de dollars. Quant à l'encours de cette dette, il serait à des proportions très élevées, selon toujours la même source. Par ailleurs, la vice-présidence a fait mention de la réunion des ministres des Finances et des gouverneurs des banques de la zone Franc, qui s'est tenue à Paris, également ce mois d'avril.
Sur les questions qui dominent l'actualité nationale, particulièrement sur le dossier consacré par le n°14 du mois d'avril d'Al watwan Magazine aux Finances publiques, le vice-président Mohamed Ali Soilihi a qualifié les écrits des journalistes d'Al-watwan de "tout simplement faux". "L'Etat a installé une gazette pour diffuser ce qui marche et non pour insinuer sur ce qui ne marche pas", a-t-il laissé entendre.
Revenant à la charge, le vice-président a lâché : "à quelques semaines du départ d'une mission du Fonds monétaire international, qui, d'ailleurs, a salué les efforts de reformes entamées par le gouvernement, que de tels écrits soient relayés, cela ne peut relever que de l'ignorance ou d'une volonté de nuisance".
Kamardine soulé:alwatwan
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