Les responsables du Mouvement Orange dénoncent « la mauvaise foie et la haine acharnées» contre leur parti. Ils accusent les leaders des aut...
Les responsables du Mouvement Orange dénoncent « la mauvaise foie et la haine acharnées» contre leur parti. Ils accusent les leaders des autres formations de la Mouvance présidentielle de «toujours stigmatiser Orange et de vouloir l'affaiblir ».
Younoussa Mohamed Boina, vice-président du Conseil de l'île de Ngazidja et un des responsables du Mouvement Orange, a «condamné» l a manière dont s'est déroulée la conférence de presse de la Mouvance le lundi dernier (lire Albalad n° 735) sur l a crise parlementaire.
PROBLÉMATIQUE BIAISÉE
«La problématique a été biaisée et les accusations contre notre parti étaient non fondées et dangereuses», s'est insurgé le vice-président. «Pourquoi on continue à indexer les élus Orange dans cette crise», tonnait-il avant d'ajouter : « est-ce que ces chefs des partis de la Mouvance, qui disposent des députés à l'Assemblée nationale, ont pu contrôler leurs élus ? Où les ont-ils désavoués après avoir signé la pétition», a martelé le responsable de l'Orange. («Mohamed Ali Soilihi, Fahmi Said Ibrahim, Djanfar Mohamed Moinsoib et l es autres n'ont pas montré l'exemple pour vouloir donner une leçon politique au parti Orange», répliquait-il. «Nous disons à nos amis que leurs attitudes et leurs chantages à l'égard de l'Orange, qui datent du règne de Sambi, n'aboutiront à rien», assénait Mohamed Boina. Au contraire, «ils risquent d'affaiblir la majorité», relève-t-il avant de contre-attaquer : «nous leur rappelons ainsi que les postes ministériels se négocient à Beit Salam et non pas au palais du peuple ». Le parti Orange s'est dit contre toute idée de dissolution de l'Assemblée. Et Il s'est «réjouit» de l 'ouverture de la session et «salue l'ensemble
" * LES POSTES MINISTÉRIELS SE NÉGOCIENT À BEIT SALAM ET NON PAS AU PALAIS DU PEUPLE
des parlementaires pour avoir «su mettre à côté leur ego» pour l'intérêt national. «Nous espérons que les travaux vont se dérouler dans des bonnes conditions pour l'intérêt de la nation et pour le bien de l'action du président Ikililou Dhoinine», a soutenu le cadre du parti Orange.
M.MOINDJIE : albalad
Younoussa Mohamed Boina, vice-président du Conseil de l'île de Ngazidja et un des responsables du Mouvement Orange, a «condamné» l a manière dont s'est déroulée la conférence de presse de la Mouvance le lundi dernier (lire Albalad n° 735) sur l a crise parlementaire.
PROBLÉMATIQUE BIAISÉE
«La problématique a été biaisée et les accusations contre notre parti étaient non fondées et dangereuses», s'est insurgé le vice-président. «Pourquoi on continue à indexer les élus Orange dans cette crise», tonnait-il avant d'ajouter : « est-ce que ces chefs des partis de la Mouvance, qui disposent des députés à l'Assemblée nationale, ont pu contrôler leurs élus ? Où les ont-ils désavoués après avoir signé la pétition», a martelé le responsable de l'Orange. («Mohamed Ali Soilihi, Fahmi Said Ibrahim, Djanfar Mohamed Moinsoib et l es autres n'ont pas montré l'exemple pour vouloir donner une leçon politique au parti Orange», répliquait-il. «Nous disons à nos amis que leurs attitudes et leurs chantages à l'égard de l'Orange, qui datent du règne de Sambi, n'aboutiront à rien», assénait Mohamed Boina. Au contraire, «ils risquent d'affaiblir la majorité», relève-t-il avant de contre-attaquer : «nous leur rappelons ainsi que les postes ministériels se négocient à Beit Salam et non pas au palais du peuple ». Le parti Orange s'est dit contre toute idée de dissolution de l'Assemblée. Et Il s'est «réjouit» de l 'ouverture de la session et «salue l'ensemble
" * LES POSTES MINISTÉRIELS SE NÉGOCIENT À BEIT SALAM ET NON PAS AU PALAIS DU PEUPLE
des parlementaires pour avoir «su mettre à côté leur ego» pour l'intérêt national. «Nous espérons que les travaux vont se dérouler dans des bonnes conditions pour l'intérêt de la nation et pour le bien de l'action du président Ikililou Dhoinine», a soutenu le cadre du parti Orange.
M.MOINDJIE : albalad
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