Un distributeur de boissons alcoolisées qui continue à vendre clandestinement a été interpellé par des agents des forces de l'ordre, jeu...
Un distributeur de boissons alcoolisées qui continue à vendre clandestinement a été interpellé par des agents des forces de l'ordre, jeudi dernier. Il a été, par la suite, relâché. Mais le vendeur s'est insurgé contre les agents des forces de l'ordre qu'il accuse de partialité. «Pourquoi on s'en prend à moi seulement, alors que tous les débits continuent à vendre les boissons alcoolisées ?», avait-il protesté.
Malgré l'arrêté ministériel qui suspend la distribution des boissons alcoolisées, la vente n'a jamais vraiment cessé.
SANS BRUIT ET AVEC PRÉCAUTION
Les boissons alcoolisées continuent à être écoulées, au vu et au su de tout le monde. Presque tous les débits de boissons alcoolisées de la capitale poursuivent leurs activités presque normalement «Nous continuons à vendre mais sans bruit et avec précautions», nous confie un vendeur de la place. «Nous ne pouvons pas faire autrement, sinon qu'on nous rembourse les taxes que nous avons déjà versé aux Impôts», rétorque-t-il. Devant le statu quo qui persiste, des propriétaires des débits de boissons alcoolisées s'étaient présentés à la direction générale des impôts pour se plaindre des manques à gagner qu'ils risquent d'encourir. La vente au marché noir les menacerait «La contrebande fleurit et des réseaux de distributions clandestines se tissent au risque de créer une situation incontrôlable,
ce sera l'anarchie» ,a averti un commissaire de police. Le procureur général, avait, de son coté, demandé à la vice-présidence en charge des Finances de vite prendre des « dispositions fermes et déterminer une politique claire en matière de commercialisation des boissons alcoolisées ». Il avait
Malgré l'arrêté ministériel qui suspend la distribution des boissons alcoolisées, la vente n'a jamais vraiment cessé.
SANS BRUIT ET AVEC PRÉCAUTION
Les boissons alcoolisées continuent à être écoulées, au vu et au su de tout le monde. Presque tous les débits de boissons alcoolisées de la capitale poursuivent leurs activités presque normalement «Nous continuons à vendre mais sans bruit et avec précautions», nous confie un vendeur de la place. «Nous ne pouvons pas faire autrement, sinon qu'on nous rembourse les taxes que nous avons déjà versé aux Impôts», rétorque-t-il. Devant le statu quo qui persiste, des propriétaires des débits de boissons alcoolisées s'étaient présentés à la direction générale des impôts pour se plaindre des manques à gagner qu'ils risquent d'encourir. La vente au marché noir les menacerait «La contrebande fleurit et des réseaux de distributions clandestines se tissent au risque de créer une situation incontrôlable,
ce sera l'anarchie» ,a averti un commissaire de police. Le procureur général, avait, de son coté, demandé à la vice-présidence en charge des Finances de vite prendre des « dispositions fermes et déterminer une politique claire en matière de commercialisation des boissons alcoolisées ». Il avait
NOUS NE POUVONS PAS FAIRE AUTREMENT, SINON QU'ON NOUS REMBOURSE LES TAXES VERSÉES AUX IMPÔTS
notamment demandé que les licences d'importateurs et de distributeurs défaillants, au niveau de la réglementation, soient retirées pour garantir «la sécurité sociale»» Mais, apparemment, les autorités ne semblent pas pressées de prendre une décision, malgré les risques qui se présentent.
M.MOINDJIE:albalad
notamment demandé que les licences d'importateurs et de distributeurs défaillants, au niveau de la réglementation, soient retirées pour garantir «la sécurité sociale»» Mais, apparemment, les autorités ne semblent pas pressées de prendre une décision, malgré les risques qui se présentent.
M.MOINDJIE:albalad
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