Le président comorien a ordonné hier le gouvernement à entrer en contact avec tous les partenaires des Comores qui peuvent aider le pays à m...
Le président comorien a ordonné hier le gouvernement à entrer en contact avec tous les partenaires des Comores qui peuvent aider le pays à mobiliser les moyens devant aider à identifier les auteurs des crimes et des violences sexuelles.
Devant les notables à Beit Salam, Ikililou Dhoinine, met en garde contre «le Mkarakara», invitant les citoyens à laisser la gendarmerie, la police et la justice faire leur travail en toute indépendance. De nombreuses réunions de crises avaient été organisées ces derniers jours par les autorités, en vue de dégager des solutions aux problèmes posés par le manque de moyens
chez les limiers.
«Que ceux habitués au Mkarakara sachent que je ne les écouterai jamais, les auteurs de crimes paieront de leurs actes, l a justice est égale pour tous», a-t-il prévenu. Le gouvernement souhaite mettre en place une unité de police scientifique et doter les services des renseignements généraux et la gendarmerie de moyens appropriés. La France, Abu-Dhabi et l'Afrique du Sud se seraient déjà montrés disponibles à accompagner l'Union des Comores à renforcer les capacités (humaines et matérielles) des services de la gendarmerie et de la police pour pouvoir réussir les enquêtes compliquées.
«Nous avons pris les dispositions, des requêtes ont été adressées à de nombreux partenaires», a dit le directeur de cabinet, M'madi Ali. Déjà, des chiens policiers sont attendus dans les prochaines semaines. Des équipes de formateurs sont attendues à Moroni, a indiqué le chef de l'Etat. Les orateurs présents à Beit Salam ont demandé l'application de la peine de mort telle que prévue dans le code pénal comorien.Albalad
Devant les notables à Beit Salam, Ikililou Dhoinine, met en garde contre «le Mkarakara», invitant les citoyens à laisser la gendarmerie, la police et la justice faire leur travail en toute indépendance. De nombreuses réunions de crises avaient été organisées ces derniers jours par les autorités, en vue de dégager des solutions aux problèmes posés par le manque de moyens
chez les limiers.
«Que ceux habitués au Mkarakara sachent que je ne les écouterai jamais, les auteurs de crimes paieront de leurs actes, l a justice est égale pour tous», a-t-il prévenu. Le gouvernement souhaite mettre en place une unité de police scientifique et doter les services des renseignements généraux et la gendarmerie de moyens appropriés. La France, Abu-Dhabi et l'Afrique du Sud se seraient déjà montrés disponibles à accompagner l'Union des Comores à renforcer les capacités (humaines et matérielles) des services de la gendarmerie et de la police pour pouvoir réussir les enquêtes compliquées.
«Nous avons pris les dispositions, des requêtes ont été adressées à de nombreux partenaires», a dit le directeur de cabinet, M'madi Ali. Déjà, des chiens policiers sont attendus dans les prochaines semaines. Des équipes de formateurs sont attendues à Moroni, a indiqué le chef de l'Etat. Les orateurs présents à Beit Salam ont demandé l'application de la peine de mort telle que prévue dans le code pénal comorien.Albalad
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