A l’initiative de l’exécutif de l’île autonome de Mwali, une semaine de l’écotourisme va se tenir du 26 au 30 décembre. Pour le commissari...
A l’initiative de l’exécutif de l’île autonome de Mwali, une semaine de l’écotourisme va se tenir du 26 au 30 décembre. Pour le commissariat en charge du tourisme, il s’agit de promouvoir la destination Mohéli auprès des visiteurs des autres îles de l’archipel des Comores. “Nous n’avons pas les moyens de travailler avec l’international, mais nous estimons que les Comoriens des autres îles peuvent venir séjourner dans Mohéli et s’offrir des images de carte postale sans avoir à se ruiner“, a déclaré Elfayadine Issouf Madjoine.
Mohéli, ce sont des plages de rêve à moins d’une demi-heure d’avion et c’est à la portée de n’importe quel citoyen de Ngazidja, Ndzouani ou Maore, ajouta le commissaire au Tourisme qui regrette que ‘‘nous ignorions la beauté de ce pays“. Tout au long de cette semaine d’écotuoirisme, diverses activités seront proposées au public ; l’accent sera mis les arts culinaires locaux. “Nous avons hâte de montrer à nos visiteurs qu’avec nos produits locaux, on peut faire une cuisine qui n’a rien à envier à l’indienne, la chinoise ou l’internationale“, poursuit le commissaire, très enthousiaste.
Des groupes folkloriques venus des quatre coins de l’île sont aussi invités à se produire. “Les synthés et autres guitares ne vont pas être de la partie, car nous cherchons à sauvegarder le patrimoine musical local, aujourd’hui en voie de disparition, au profit des wadaha ou manguta dont l’esthétique reste à vérifier par rapport au maulida ya ubandza, diridji, sorobwalolo, dandaro, mfuba ya djiyo et autre biyaya“, insiste le commissaire. “Nous aurons un certain nombre de visiteurs venant des autres îles et le succès de notre action dépend justement de la participation grand-comorienne, anjouanaise et maoraise. Il n’est pas exclu que le chef de l’Etat vienne nous rendre visite, en compagnie de ses ministres et de certains opérateurs économiques exerçant dans le secteur“, a encore fait savoir Issouf Madjoine.
Riziki: alwatwan
Mohéli, ce sont des plages de rêve à moins d’une demi-heure d’avion et c’est à la portée de n’importe quel citoyen de Ngazidja, Ndzouani ou Maore, ajouta le commissaire au Tourisme qui regrette que ‘‘nous ignorions la beauté de ce pays“. Tout au long de cette semaine d’écotuoirisme, diverses activités seront proposées au public ; l’accent sera mis les arts culinaires locaux. “Nous avons hâte de montrer à nos visiteurs qu’avec nos produits locaux, on peut faire une cuisine qui n’a rien à envier à l’indienne, la chinoise ou l’internationale“, poursuit le commissaire, très enthousiaste.
Des groupes folkloriques venus des quatre coins de l’île sont aussi invités à se produire. “Les synthés et autres guitares ne vont pas être de la partie, car nous cherchons à sauvegarder le patrimoine musical local, aujourd’hui en voie de disparition, au profit des wadaha ou manguta dont l’esthétique reste à vérifier par rapport au maulida ya ubandza, diridji, sorobwalolo, dandaro, mfuba ya djiyo et autre biyaya“, insiste le commissaire. “Nous aurons un certain nombre de visiteurs venant des autres îles et le succès de notre action dépend justement de la participation grand-comorienne, anjouanaise et maoraise. Il n’est pas exclu que le chef de l’Etat vienne nous rendre visite, en compagnie de ses ministres et de certains opérateurs économiques exerçant dans le secteur“, a encore fait savoir Issouf Madjoine.
Riziki: alwatwan
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