Salim Nahouda et Boinali Saïd autour de la table des négociations - RICHARD BOUHET ©AFP Les négociations entre l’intersyndicale et le...
Salim Nahouda et Boinali Saïd autour de la table des négociations - RICHARD BOUHET ©AFP Les négociations entre l’intersyndicale et le préfet se sont ouvertes à 15 heures à Mamoudzou. Le matin, seules 200 personnes avaient bravé le mauvais temps pour manifester. Une "très modeste" mobilisation qui n’inquiète pas Boinali Saïd, le secrétaire général de la CFDT-Mayotte.
"Je ne suis pas trop au courant des dernières informations". Joint au téléphone par la rédaction de la1ère.fr, Boinali Saïd est à mille lieux des évènements de Mayotte. Littéralement, car il se trouvait encore à Paris ce lundi et ne rejoindra l’archipel des Comores que ce mardi. Toutefois, il avait eu connaissance dans la matinée de la "très modeste" mobilisation des Mahorais ce 19 décembre. Environ deux cents personnes et deux barrages établis par des enfants rapidement enlevés. Une mobilisation et un chiffre assez faibles, mais pour le secrétaire général, cela ne signifiait pas grand-chose. "Ce qui importe c’est la rencontre avec le préfet" qui a débuté dans l’après-midi à Mamoudzou, le chef-lieu, "la population a suffisamment donné de soi-même pendant 45 jours, il faut désormais trouver des solutions", a-t-il expliqué. Selon lui, la journée de mardi pourrait être décisive, car "un accord pourrait être finaliser", a-t-il conclu.source:http://mayotte.la1ere.fr
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