Les organisations socioprofessionnelles et la société civile, regroupées dans le mouvement antihausse, ont déclaré hier, la rupture du dialo...
Les organisations socioprofessionnelles et la société civile, regroupées dans le mouvement antihausse, ont déclaré hier, la rupture du dialogue avec le gouvernement. «L’attitude du gouvernement à notre égard n’est pas acceptable. Il ne fait que nous ridiculiser et nous traiter avec mépris», lançait Said Abdallah Mohamed Mchangama, président de la Fédération des consommateurs comoriens (FCC), à l’issue d’une rencontre des toutes les organisations antihausse.
L’Organisation patronale des Comores (OPACO), le FCC, le mouvement Wanantsi, le syndicat des chauffeurs (Wussukani wa Massiwa), le syndicat des vendeurs du marché VoloVolo et le syndicat des pêcheurs s’estiment trahis par les autorités. «Tous les engagements pris ensemble n’ont pas été tenus. Et le gouvernement a abusé de notre patience», a accusé le président de la Fcc.
Les leaders des organisations socioprofessionnelles ont «condamné» les propos du vice-président Nourdine Bourhane, justifiant la hausse du prix du carburant. Ces propos sont qualifiés de «contre-vérité et de dangereux» et selon Mohamed Mbechezi, chargé de la communication à l’Opaco, ils viennent entériner la rupture des négociations entre le gouvernement et nos organisations». Et ceci, d’après lui, «malgré l’esprit de dialogue affiché par le chef de l’Etat».
Le chargé de la communication a «dénoncé l’incohérence» qui caractérise la position du gouvernement dans le dossier de la hausse des prix du carburant. «On ne peut pas comprendre que les propos du vice-président Nourdine Bourhane soit en totale contradiction avec ceux de son collègue des finances, Mohamed Ali Soilihi», a-t-il regretté.
Les organisations antihausse vont, à cet effet, lancer une campagne dans les villages et les villes pour «un large mouvement» contre la hausse des prix du carburant. «Des actions de grande envergure sont prévues, mais nous ne disons rien pour l’instant», a déclaré Mchangama. Albaladcomores
L’Organisation patronale des Comores (OPACO), le FCC, le mouvement Wanantsi, le syndicat des chauffeurs (Wussukani wa Massiwa), le syndicat des vendeurs du marché VoloVolo et le syndicat des pêcheurs s’estiment trahis par les autorités. «Tous les engagements pris ensemble n’ont pas été tenus. Et le gouvernement a abusé de notre patience», a accusé le président de la Fcc.
Les leaders des organisations socioprofessionnelles ont «condamné» les propos du vice-président Nourdine Bourhane, justifiant la hausse du prix du carburant. Ces propos sont qualifiés de «contre-vérité et de dangereux» et selon Mohamed Mbechezi, chargé de la communication à l’Opaco, ils viennent entériner la rupture des négociations entre le gouvernement et nos organisations». Et ceci, d’après lui, «malgré l’esprit de dialogue affiché par le chef de l’Etat».
Le chargé de la communication a «dénoncé l’incohérence» qui caractérise la position du gouvernement dans le dossier de la hausse des prix du carburant. «On ne peut pas comprendre que les propos du vice-président Nourdine Bourhane soit en totale contradiction avec ceux de son collègue des finances, Mohamed Ali Soilihi», a-t-il regretté.
Les organisations antihausse vont, à cet effet, lancer une campagne dans les villages et les villes pour «un large mouvement» contre la hausse des prix du carburant. «Des actions de grande envergure sont prévues, mais nous ne disons rien pour l’instant», a déclaré Mchangama. Albaladcomores
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