Aider à mieux connaitre le patrimoine culturel Après Mohéli et Anjouan, l’américain Nabil Zoher Abuharb, réalisateur d’un film documentaire...
Aider à mieux connaitre le patrimoine culturel
Après Mohéli et Anjouan, l’américain Nabil Zoher Abuharb, réalisateur d’un film documentaire sur les Comores, a présenté quelques séquences de son tournage vendredi dernier au centre American Corner à Moroni. Ce film prévu pour une durée de 45 minutes, a été tourné dans les trois îles de l’Union des Comores. Il présente surtout l’aspect culturel (danses traditionnelles et monuments) et le paysage naturel des Comores. C’est un projet initié par l’ambassade des Etats unis aux Comores en résidence à Madagascar, par le biais de son conseiller à la communication et aux affaires culturelles Bretten Bruen. L’objectif étant de faire la promotion du patrimoine matériel et immatériel des Comores.
«L’ambassade des Etats unis aux Comores s’intéresse beaucoup à la sauvegarde du patrimoine matériel des Comores, c’est pourquoi elle m’a sollicité à réaliser ce film qui a pour but de faire connaitre le patrimoine comorien aux Comoriens et au monde», a déclaré M. Abuharb, qui a annoncé que le montage du film va prendre 8 à 9 semaines.
C.HAMADI
Nabil Zoher Abuharb, réalisateur américain
Nabil Zoher Abuharb
Nabil Zoher Abuharb est un jeune de 27 ans, né aux Etats unis d’un père palestinien et d’une mère américaine. Avant de prendre le vol samedi dernier pour Madagascar, il a avoué qu’il garde d’excellents souvenirs des Comores, surtout de l’accueil qui lui a été réservé dans toutes les localités qu’il passait. «Ici je sens beaucoup plus chez moi qu’aux Etats unis. J’ai découvert un beau paysase meme s’il y a des choses à améliorer », a apprécié le jeune réalisateur qui a exprimé son souhait que « ce film aide à améliorer la situation des Comores».
COMMENTAIRES