La Chine est notre partenaire séculaire qui nous accompagne tout au long du développement économique et d'infrastructures, depuis l...
La Chine est notre partenaire séculaire qui nous accompagne tout au long du développement économique et d'infrastructures, depuis le lendemain de notre indépendance. Certes, c'est un fait et personne ne dirait le contraire. Cependant, derrière ce bon-samaritain, il se cache un tout autre visage, celui de la course à la croissance chinoise à deux chiffres.
En effet, on a appris de source sûre que le déficit énergétique qui frappe les Comores, l'Empire du milieu y est pour quelque chose. Le géant asiatique serait impliqué dans des manœuvres politiciennes pour plonger l'Union des Comores dans l'obscurité totale afin de mieux vendre ses panneaux solaires. D'autant plus que la Chine détiendrait 75 % de part du marché des panneaux photovoltaïques aux Comores. Il n'y a pas de philanthropie en politique, il n y a malheureusement pas que des intérêts économiques froids.
 la recherche de nouveaux marches pour doper sa croissance à bout de souffle, la Chine n'hésiterait pas à couper le courant aux Comores afin d'inciter les Comoriens à se doter d'autres sources d'énergie. La Mwamwe serait en complicité d'ailleurs avec ce genre de pratiques illicites. Les dirigeants de la société auraient accepté en échange de quelques maigres sommes d'argent. Il ne manquait plus que ça.
Tout le monde sait que le problème de l'électricité qui se pose au pays des souffrances est dû au manque du carburant, d'essence mais pas d'une défaillance technique des groupes électrogènes, comme laisse entendre certains dirigeants.
Ce n'est pas la première fois que cette société de misère soit épinglée. Tout le monde le sait que les dirigeants de la Mwamwé avaient mis en place respectivement un marché parallèle pour vendre â leur propre compte des tuyauteries, des produits informatiques, des câbles, des poteaux et mêmes des voiture, s'il vous plaît.
À commencer par Henri Mlanao, ancien directeur qui avait passé une commande de 27 voitures à l'époque à Peugeot. C'était en fait de la poudre aux yeux. Mais on sait ce qui advenu de ces voitures. Même con de clochet chez les anciens dirigeants de la Mwamwé. Tout le monde y allait de sa guise.
On ne perle même pas de l'ancien directeur, Omar Mgomri, qui s'était attribué un salaire de 1200€ avec des avantages énormes alors qu'il a licencié plus de 300 personnes d'une manière illicite, au lendemain de son arrivée à l'entreprise. Comme on-dit, nous sommes condamnés à vivre dans la misère pendant que d'autres s'en mettent pleins les poches. Pauvre de toi, Comores, mon beau pays mon beau peuple!
Par Nasra Ahamada
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