credits : Imed Lamloum Au moins neuf personnes, dont deux enfants, ont été tuées dans la nuit de samedi à dimanche dans un raid de l'Ot...
credits : Imed Lamloum
Au moins neuf personnes, dont deux enfants, ont été tuées dans la nuit de samedi à dimanche dans un raid de l'Otan à Tripoli, a affirmé le régime libyen, qui a accusé l'Alliance atlantique de commettre des «barbaries» en visant «délibérément des civils».
Kadhafi ne veut rien céder face à la communauté internationale malgré les frappes de l'OTAN. Dimanche, le ministre des Affaires étrangères Abdelati Al-Obeidi a affirmé que le régime était «prêt pour la paix et pour le combat» et qu'il «n'abandonnerait pas» le colonel Mouammar Kadhafi.
«Nous avons affirmé notre désir de paix en Libye depuis le début. Personne n'a écouté. Nous ne pardonnerons jamais, nous n'oublierons jamais, nous sommes là: sur notre terre unis avec notre leader (Kadhafi). Nous sommes prêts pour la paix et prêts pour le combat pour notre liberté et notre honneur», a-t-il dit.
Le ministre, qui lisait un communiqué devant les correspondants de la presse internationale, à Tripoli, a en outre condamné un raid aérien «injustifié» contre un quartier résidentiel, attribué aux forces de l'Otan, tuant dans les premières heures de dimanche, neuf civils, dont deux enfants, et blessant 18 autres, selon le régime libyen.
Il a estimé que les «bombardements délibérés de sites civils était un appel direct à tous les peuples libres du monde et à tous les musulmans pour lancer un jihad global contre l'Occident oppressant et criminel et pour ne pas permettre à des organisations criminelles comme l'Otan de décider du futur des autres pays indépendants et souverains».
9 morts et 51 blessés dans des combats à Misrata
Le porte-parole du gouvernement Moussa Ibrahim a tenu à préciser par la suite aux journalistes que le mot «Jihad» n'était «pas utilisé dans le sens islamique du terme» en allusion à la guerre sainte à laquelle appelle l'organisation terroriste d'Al-Qaïda contre l'Occident. «Jihad ici veut dire lutte», a-t-il souligné.
Pendant ce temps les combats continuent entre les forces restées fidèles à Kadhafi et les rebelles qui ont pris le contrôle de plusieurs villes dont Benghazi, devenue leur fief. Dimanche, ces rebelles ont annoncé la mort de neuf personnes et 51 blessés dans des combats à Misrata, dans l'ouest du pays, où les affrontements perdurent depuis le début du soulèvement de l'opposition.le parisien
«Nous avons affirmé notre désir de paix en Libye depuis le début. Personne n'a écouté. Nous ne pardonnerons jamais, nous n'oublierons jamais, nous sommes là: sur notre terre unis avec notre leader (Kadhafi). Nous sommes prêts pour la paix et prêts pour le combat pour notre liberté et notre honneur», a-t-il dit.
Le ministre, qui lisait un communiqué devant les correspondants de la presse internationale, à Tripoli, a en outre condamné un raid aérien «injustifié» contre un quartier résidentiel, attribué aux forces de l'Otan, tuant dans les premières heures de dimanche, neuf civils, dont deux enfants, et blessant 18 autres, selon le régime libyen.
Il a estimé que les «bombardements délibérés de sites civils était un appel direct à tous les peuples libres du monde et à tous les musulmans pour lancer un jihad global contre l'Occident oppressant et criminel et pour ne pas permettre à des organisations criminelles comme l'Otan de décider du futur des autres pays indépendants et souverains».
9 morts et 51 blessés dans des combats à Misrata
Le porte-parole du gouvernement Moussa Ibrahim a tenu à préciser par la suite aux journalistes que le mot «Jihad» n'était «pas utilisé dans le sens islamique du terme» en allusion à la guerre sainte à laquelle appelle l'organisation terroriste d'Al-Qaïda contre l'Occident. «Jihad ici veut dire lutte», a-t-il souligné.
Pendant ce temps les combats continuent entre les forces restées fidèles à Kadhafi et les rebelles qui ont pris le contrôle de plusieurs villes dont Benghazi, devenue leur fief. Dimanche, ces rebelles ont annoncé la mort de neuf personnes et 51 blessés dans des combats à Misrata, dans l'ouest du pays, où les affrontements perdurent depuis le début du soulèvement de l'opposition.le parisien
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