Google Google +, le réseau social de Google, permet notamment de créer des "cercles" de contacts. Google a annoncé, mardi 28 j...
Google a annoncé, mardi 28 juin au soir, le lancement de Google +, un nouveau réseau social qui se pose en concurrent direct de Facebook. L'inscription au service se fait, pour l'instant, uniquement sur invitation, une pratique classique du moteur de recherche pour le lancement de nouveaux produits.
Il ne s'agit pas de la première incursion de Google dans le domaine : en février 2010, il avait lancé Buzz, une combinaison de sa messagerie instantanée avec des éléments de réseau social. Le service avait été un échec : une mauvaise gestion des paramètres de protection de la vie privée avait provoqué un scandale, et l'ouverture d'enquêtes par les autorités de régulation de plusieurs pays.
CALQUÉ SUR LE "MONDE RÉEL"
Pour Google +, le moteur de recherche a choisi une approche "réaliste"."Aujourd'hui, les contacts entre personnes se passent de plus en plus en ligne. Et pourtant, la subtilité et la réalité des interactions du monde réel se perdent dans la rigidité des outils Web", estime l'entreprise sur son blog officiel. "L'échange en ligne est étrange. Cassé, même. Et nous voulons le réparer." Pour ce faire, Google s'est inspiré, dans la structure de son réseau social, de lieux et de situations du monde réel : les "vidéobulles", des conversations par Webcam à plusieurs, sont par exemple censées fonctionner comme un café virtuel où l'on passe discuter avec des amis lorsqu'on a un peu de temps.
Mais la principale innovation de Google + est la manière dont il tente de résoudre le problème, soulevé notamment par le spécialiste du Web Cory Doctorow, des croisements de cercles sociaux. Dans la vie quotidienne, explique-t-il, nous faisons partie de différents cercles : amis, collègues, association sportive, famille... Et ces diverses sphères n'ont pas vocation à se croiser ou à interagir. Or, les réseaux sociaux comme Facebook ou Twitter ne font pas la distinction entre elles : lorsque l'on s'y exprime, on s'adresse le plus souvent à l'ensemble de ses "amis" ou "followers". Le réseau de Google introduit un nouvel outil, baptisé "cercles", qui simplifie la gestion de ces différents groupes de connaissances.
Google + reste, malgré tout, proche du fonctionnement de Facebook, avec un fil d'informations et la plupart des options classiques d'un réseau social. Mais, comme le note avec ironie le blogueur américain XKCD, un service qui ressemble à Facebook mais qui n'est pas Facebook pourrait trouver son public auprès des déçus du plus grand réseau social au monde.le monde
Il ne s'agit pas de la première incursion de Google dans le domaine : en février 2010, il avait lancé Buzz, une combinaison de sa messagerie instantanée avec des éléments de réseau social. Le service avait été un échec : une mauvaise gestion des paramètres de protection de la vie privée avait provoqué un scandale, et l'ouverture d'enquêtes par les autorités de régulation de plusieurs pays.
CALQUÉ SUR LE "MONDE RÉEL"
Pour Google +, le moteur de recherche a choisi une approche "réaliste"."Aujourd'hui, les contacts entre personnes se passent de plus en plus en ligne. Et pourtant, la subtilité et la réalité des interactions du monde réel se perdent dans la rigidité des outils Web", estime l'entreprise sur son blog officiel. "L'échange en ligne est étrange. Cassé, même. Et nous voulons le réparer." Pour ce faire, Google s'est inspiré, dans la structure de son réseau social, de lieux et de situations du monde réel : les "vidéobulles", des conversations par Webcam à plusieurs, sont par exemple censées fonctionner comme un café virtuel où l'on passe discuter avec des amis lorsqu'on a un peu de temps.
Mais la principale innovation de Google + est la manière dont il tente de résoudre le problème, soulevé notamment par le spécialiste du Web Cory Doctorow, des croisements de cercles sociaux. Dans la vie quotidienne, explique-t-il, nous faisons partie de différents cercles : amis, collègues, association sportive, famille... Et ces diverses sphères n'ont pas vocation à se croiser ou à interagir. Or, les réseaux sociaux comme Facebook ou Twitter ne font pas la distinction entre elles : lorsque l'on s'y exprime, on s'adresse le plus souvent à l'ensemble de ses "amis" ou "followers". Le réseau de Google introduit un nouvel outil, baptisé "cercles", qui simplifie la gestion de ces différents groupes de connaissances.
Google + reste, malgré tout, proche du fonctionnement de Facebook, avec un fil d'informations et la plupart des options classiques d'un réseau social. Mais, comme le note avec ironie le blogueur américain XKCD, un service qui ressemble à Facebook mais qui n'est pas Facebook pourrait trouver son public auprès des déçus du plus grand réseau social au monde.le monde
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