Le crash a eu lieu au large des Comores le 1er juillet 2009. ©DR La lettre des familles de victimes envoyée au président de la...
Le crash a eu lieu au large des Comores le 1er juillet 2009. ©DR |
La lettre des familles de victimes envoyée au président de la République française (lire notre article), deux ans après le crash des Comores, a provoqué une réponse de Thierry Mariani, secrétaire d'Etat auprès de la ministre de l’Ecologie, du Développement durable, des Transports et du Logement, chargé des Transports.
Celui-ci souligne l’importante collaboration apportée par les services français et, en particulier, le BEA lors de l’enquête. "Un rapport d’étape devrait être transmis prochainement par les enquêteurs comoriens", annonce Thierry Mariani. Ce document qui a déjà provoqué le limogeage de l’enquêteur comorien, serait prêt depuis longtemps mais bloqué par le gouvernement des Comores, très proche de la compagnie Yemenia dont la responsabilité est engagée.
Dans les milieux diplomatiques, on souligne que deux mesures seraient susceptibles de faire avancer le dossier. Il s’agit d’une part de la menace de blocage de l’aide française aux Comores et d’autre part de la mise en liste noire de la compagnie Yemenia.
La desserte des Comores est devenue encore plus problématique que par le passé avec les difficultés d’Air Madagascar qui ne peut assurer les vols supplémentaires directs qui avaient été programmés au départ de Paris et de Marseille vers Moroni.
Dans les milieux diplomatiques, on souligne que deux mesures seraient susceptibles de faire avancer le dossier. Il s’agit d’une part de la menace de blocage de l’aide française aux Comores et d’autre part de la mise en liste noire de la compagnie Yemenia.
La desserte des Comores est devenue encore plus problématique que par le passé avec les difficultés d’Air Madagascar qui ne peut assurer les vols supplémentaires directs qui avaient été programmés au départ de Paris et de Marseille vers Moroni.
T.V.:pros-du-tourisme.com
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