Au cours de son audition hier par la commission d'enquête de l'assemblée nationale, le directeur général de la société nationale d...
Au cours de son audition hier par la commission d'enquête de l'assemblée nationale, le directeur général de la société nationale d'eau et d'électricité a expliqué les délestages intempestifs du moment par de difficultés financières. Il a promis d'arranger la situation si le gouvernement lui accorde une aide financière.
C'est en présence du vice-président en charge de l'Energie, Fouad Ben Mhadj que l es députés ont entendu, hier matin, le directeur général de l a Ma-mwe, Mlanao Henri Alphonse au sujet des difficultés actuelles de la société. Les Coupures régulières et prolongés dans l es régions, l es nombreux délestages au niveau de la capitale et l'installation de nouveaux compteurs à carte. Les parlementaires voulaient tout comprendre à l'approche du mois sacré de ramadan pour tenter d'inciter l e gouvernement à apporter une solution. Mais les arguments développés par le patron de la Ma-mwe pendant près de quatre heures n'auraient pas convaincu les députés.
Selon le député Hassane II, M. Mlanao n'a pas répondu aux questions. « Il a simplement évoqué un problème d'argent. Pour le reste, il n'a rien dit », a confié le député aux journalistes d'Albalad. Le directeur de la Ma-mwe aurait affirmé que les groupes électrogènes sont en bon état « Si vous nous accordé des fonds pour acheter l e gasoil, l a situation redeviendrait normal », aurait-il dit aux parlementaires. Or, au sein de
la société, l es tensions sont vives. Il est est reprochée à la direction de mauvaise gestion et surtout de laxisme envers certains partenaires... En ce qui concerne la révision des groupes Henrie Fraise, trois d'entre eux sont à l'arrêt depuis bientôt un mois. Les récentes augmentations de salaires en faveur de plusieurs cadres ont aussi provoqué l 'ire de l'agent comptable principal qui « refuse catégoriquement de signer les états de salaires du mois de mai », selon un agent de la Ma-mwe. albalad
Selon le député Hassane II, M. Mlanao n'a pas répondu aux questions. « Il a simplement évoqué un problème d'argent. Pour le reste, il n'a rien dit », a confié le député aux journalistes d'Albalad. Le directeur de la Ma-mwe aurait affirmé que les groupes électrogènes sont en bon état « Si vous nous accordé des fonds pour acheter l e gasoil, l a situation redeviendrait normal », aurait-il dit aux parlementaires. Or, au sein de
la société, l es tensions sont vives. Il est est reprochée à la direction de mauvaise gestion et surtout de laxisme envers certains partenaires... En ce qui concerne la révision des groupes Henrie Fraise, trois d'entre eux sont à l'arrêt depuis bientôt un mois. Les récentes augmentations de salaires en faveur de plusieurs cadres ont aussi provoqué l 'ire de l'agent comptable principal qui « refuse catégoriquement de signer les états de salaires du mois de mai », selon un agent de la Ma-mwe. albalad
GODFROY CHEKETE Il est limogé chez ,il est devenu expert chez nous nLa nouvelle du limogeage de l’ancien directeur général de la Sbee Godfroy Chékété est tombée le mercredi dernier. Nommé il y a quelques années, ce cadre, malgré les reformes entreprises n’a pas comblé les attentes. Même si des rumeurs vont bon train sur les raisons de son limogeage, depuis hier, on en sait un peu plus. En effet, à la faveur d’une audience que le chef de l’Etat, le docteur Boni Yayi a accordée au directeur générale de la Communauté électrique du Bénin (Ceb), Djibril Salifou et au nouveau directeur général de la Sbee et Conseiller technique à l’énergie du chef de l’Etat, Marius Hounkaptin hier jeudi, on a une idée des griefs que nourrissait le premier magistrat contre l’ancien directeur. On peut comprendre en filigrane que Boni Yayi ne comprend pas qu’en dépit de plus de 110 milliards de nos francs injectés à la Sbee, les populations continuent de subir les affres des coupures d’électricité. De plus, si on s’en tient aux propos du tout nouveau directeur de la Sbee, Marius Hounkaptin à la sortie de l’audience, le chef de l’Etat est préoccupé de la santé financière de cette société d’Etat et voudrait une amélioration. C’est dire que le président de la République, Boni Yayi n’est pas satisfait de la façon dont la Sbee est gérée, des coupures intempestives du courant électrique et de la piètre qualité de service de cette société au profit des clients. Bref, tout un cocktail de griefs qui ont milité pour que Godfroy Chékété soit relevé de ses fonctions.
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