Député Mzimba, un leader légendaire d’opposition dans un paysage politique dominé par le pouvoir. Ensuite c’est une reconnaissance institutionnelle de
Opinion libre : DÉPUTÉ IBRAHIM ALI MZIMBA, UN LEADER LÉGENDAIRE D'OPPOSITION DANS UN PAYSAGE POLITIQUE DOMINÉ PAR LE POUVOIR
La rencontre entre le chef de l’opposition républicaine Ibrahim Ali Mzimba et le président Azali Assoumani au palais présidentiel présente plusieurs avantages politiques et institutionnels pour tous :
D'abord cette réception au palais de Beit Salam renforce le dialogue démocratique marquant une volonté d’ouverture du pouvoir exécutif envers l’opposition, ce qui favorise un climat politique apaisé.
Ensuite c’est une reconnaissance institutionnelle de l’opposition : Cette audience confère une légitimité politique au rôle d’Ibrahim Ali Mzimba en tant que chef de l’opposition, même s’il est seul député non membre de la majorité parlementaire.
C'est aussi une stimulation de la transparence et de la concertation : En impliquant l’opposition dans certaines discussions nationales, cela encourage une gouvernance plus participative.
Une source réelle de prévention des tensions politiques : Un dialogue formel entre les camps opposés peut réduire les risques de conflits post-électoraux ou de manifestations.
L’opposition dans son ensemble peut profiter de cette rencontre pour faire entendre des préoccupations populaires souvent ignorées par le pouvoir.
Je conclus par dire qu'Ibrahim Ali Mzimba se positionne comme un acteur politique pragmatique, cherchant à naviguer entre une opposition affaiblie et un pouvoir dominant. Son approche, mêlant dialogue institutionnel et propositions de réforme, reflète une tentative de maintenir une voix dissidente au sein d'un système politique largement contrôlé par le parti au pouvoir. Franchement c est un coup de maître pour y arriver au bout du tunnel. Mzimba mérite bien le soutient de nous tous pour bien instaurer sa nouvelle vision politique. Cette vison est l' unique démarche démocratique à suivre pour le bien être de ce pays.
Par Sadou Mmadi
COMMENTAIRES