Comme à l'accoutumée, chaque fois qu'il s'agit de Maore, Azali fuit. Les citoyens déploient des pieds et des mains pour soutenir les Maorais dans la d
Pendant que l'Etat français met le paquet pour assister son "territoire" frappé par le cyclone Chido, l'Etat comorien regarde ailleurs.
Comme à l'accoutumée, chaque fois qu'il s'agit de Maore, Azali fuit. Cette fois-ci, Il décrète un deuil d'une semaine suite à la catastrophe qui s'est abattue sur Maore, encore des simagrées pour tromper notre peuple.
Les citoyens déploient des pieds et des mains pour soutenir les Maorais dans la détresse. Des comités ont vu le jour, des initiatives sont lancées dont un madjilis à Paris, des cagnottes en ligne, des groupes whatsApp, etc. La mobilisation des citoyens tranchent avec l'attitude désinvolte, irresponsable du clan Azali.
Malheureusement l'opinion internationale comme nationale retiendra l'activisme français destiné à ancrer l''île comorienne dans sa république et la capitulation comorienne.
C'est pour cela que les citoyens comoriens doivent exiger du pouvoir Azali :
- que dans les meilleurs délais, il dépêche à Maore, un bateau rempli de bouteilles d'eau produites dans le pays
- que des troupes (sécurité civile, armée) soient envoyés à Maore participer aux opérations de secours urgents.
Si la France nous oppose la force pour empêcher l'expression de notre solidarité avec nos compatriotes, elle en endossera la responsabilité. Mais nous aurons fait notre devoir. Quand on s'empare d'un pouvoir, on doit assurer un minimum et non se croire libéré du peuple.
Idriss Mohamed Chanfi
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