5 ans après, les collectifs ont démontré leurs limites : divisions, détournements...

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5 ans après, les collectifs ont démontré leurs limites : divisions, détournements...Complexés et désespérés, refusant de se rendre à l'évidence ce qui

TOUTE HABITUDE DEVIENT MALADIVE ET FANATIQUE


5 ans après, les collectifs ont démontré leurs limites : divisions, détournements...

Nous sommes en guerre contre une dictature qui a pris naissance aux Comores en 2018 le jour où un homme seul, un individu au triste passé politique et militaire a unilatéralement abrogé la constitution comorienne issue de l'Accord cadre de 2001 de Fomboni.

Un an plus tard, après la bêtise d'une opposition opportuniste à se présenter à une mascarade du dictateur Azali, l'onde de choc toucha la diaspora.

Dans un mouvement de désespoir ajouté à des assassinats ciblés dont celui du commandant FAISSOIL, du Major MOUTU, l'ambassade comorien en France est investi par des comoriens en colère qui seront très vite maîtrisés et chassés des lieux par les policiers français.

Et depuis une résistance se matérialise par des rencontres hebdomadaires tous les dimanches à Paris, place de la république et petit à petit à Marseille, à Nice, à Lyon avec comme slogan "DAULA YA HAKI" : ÉTAT DE DROITS.

Un homme s'est distingué dans ces organisations ABANA, un comorien d'Anjouan. Est ce un signe?

5 ans après, les collectifs ont démontré leurs limites : divisions, détournements, incapacités de se mettre en cause, donc échec sur le plan général. Deux collectifs presque rivaux restent sur le terrain et se vident de manifestants de jour en jour.

Ces derniers mois, une dizaine ou moins de manifestants se retrouvent presque invisible dans ses places jadis remplies. Complexés et désespérés, refusant de se rendre à l'évidence ce qui reste des organisateurs n'ont que deux arguments :

  1. C'est nous qui avons porté les couleurs de la résistance;
  2. Grâce à nos manifestations, la dictature est connue, dénoncée.

Des arguments nuls au constat des résultats de 5 années, 360 dimanches de combat.

Habitude, si tu me tiens!

L'ironie de l'histoire : quelques effervescents combattants des premières heures sont aujourd'hui les portes drapeaux de la dictature : FARID, NÉGOCIATEUR, MOUSSAOUI, MBENI LITTÉRAIRE, le casseur des urnes...

Heureusement qu'aucun comorien d'Anjouan ni de Mwali n'est pas sorti des rangs. C'est encore un signe et pas le moindre. Le Gouvernement de Libération formé par une majorité de comoriens d'Anjouan et Mwali reste sur la ligne. N'est-il pas temps de se réveiller ?

Malgré leur refus de regarder la réalité en face et de changer une stratégie de combat, j'insiste auprès de ces collectifs en agonie d'en finir avec cette fanatique habitude et de s'armer de courage à enfin vaincre cette dictature.

Yes, we can!

BEN ALI

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