Dans la journée d’hier, une attaque médiatique s’est abattue sur le Ministre de la jeunesse et sports de l’Union des Com.Les Comores méritent mieux...
Djaanfar Salim Allaoui se porte parfaitement bien
Dans la journée d’hier, une attaque médiatique s’est abattue sur le Ministre de la jeunesse et des sports de l’Union des Comores. L’affaire des athlètes savamment orchestrée pour nuire à son image et les farceurs de Dawla Y’a Haki.
Pour l’attribution des visas de nos jeunes, tout à été vérifié y compris leur hébergement à la Réunion. Des engagements ont été consentis pour garantir leur retour, une fois la compétition terminée.
Arrivée sur place, les athlètes se sont enfuis en rompant le deal qui les engageait. Mis au courant de la situation, le Ministère de la jeunesse et des sports a informé l’Ambassade de France à Moroni.
Deux semaines plus tard, certaines personnes croyant détenir un scoop ont relancé l’affaire en la médiatisant. Ces donneurs de leçons oublient que le comorien vole des papiers, vend des bijoux et des terrains pour espérer se rendre en France. La PAF réunionnaise va traquer ces jeunes et procéder à leur expulsion. Ils seront menottés comme de vulgaires criminels et renvoyés dans leur pays d’origine.
Ainsi se résume la clairvoyance de certains de nos compatriotes. Par ailleurs, Djaanfar Salim Allaoui a pris part aux festivités du 14 juillet. Et le vendredi 15 juillet, il a pris la décision de descendre à Marseille. Arrivée à la Gare de Lyon, des travailleurs comoriens l’ont reconnu et salué avec respect et ont cessé de travailler pour lui tenir compagnie.
Une fois à la gare Saint Charles de Marseille, des comoriens le reconnaissent, lui font une standing ovation et lui prennent un taxi et l’accompagnent à son adresse.
Le Ministre s’apprêtait à payer le taxi et ces comoriens ont refusé en réglant l’addition. Voilà les vrais patriotes contrairement aux farceurs qui s’amusent à faire le buzz. Ils viennent en groupe, font le show pendant 20 minutes et disparaissent dans la nature. Les Comores méritent mieux...
Par Abdillah Ahmed Ali
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