Azali, un homme désorienté par l'absence d'un projet
Azali, un homme désorienté par l'absence d'un projet
Nous sommes arrivés à un carrefour, « notre commandant en chef est dévasté par le doute tant sa perdition est grande et grave.
On voudrait à travers cet exercice ne parler que de la vie de tous les jours, pénible et même stressant moralement, sa perspective n'augure guère d'avenir.
Beaucoup livrent leur vies aux requins, d'autres dans l'ivresse, la petite poignée aux commandes s'en réjouisse, de cette quiétude, sans inquiétudes.
Cette quiétude d'un sac de sucre autrefois à neuf milles et qui passe à plus de quinze milles.
Cette quiétude d'un bidon d'huile de cuisine autrefois à quinze milles et qui passe à vingt milles et, que les dirigeants soient sans inquiétudes, montre une classe politique stupide.
Comme ces stupides sont à bout de certitude et donc doute.
L'opposition doute qu'elle puisse chasser Azali, ce dernier a bien trouvé la parade, le dialogue de sourd, qui n'est en fait qu'une ruse supplémentaire pour tromper autrui.
Et pourtant, j'avais accueilli favorablement cette initiative, mais les indiscrétions obtenues ici et là montrent un manque de sincérité. Pour ceux qui discutent avec Azali, pour lui c'est l'après 2029, dont il peaufine comment faire ?
C'est pourquoi, compte tenu de cette somnolence de toute la classe politique, il faut les chasser pas par les insultes, mais en réveillant la population, en jouant votre rôle de, parlant de la vie cher et des petites arrangements ici et là dans les hautes sphères du pouvoir.
Daoud Halifa
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