Le sentiment de n’avoir aucun pouvoir sur les gens et les événements est difficilement supportable car l’impuissance rend malheureux. Autre...
Le sentiment de n’avoir aucun pouvoir sur les gens et les événements est difficilement supportable car l’impuissance rend malheureux. Autrement dit, il est dangereux de paraître avide de pouvoir. Ce sentiment nourrit des prétentions d’être au-dessus de la mêlée à la façon d’afficher la vertu et le sens profond de la justice.
L’opposition comorienne fut la figure emblématique de ce phénomène avec son pseudo « Dawula Yahaki, CNT ainsi de suite ». Mais la vérité les rattrape toujours puisqu’il s’agit de l’avidité du pouvoir.
La plupart de ses actions sont orientées en ce sens, et ces gens-là ne font que jeter de la poudre aux yeux; ils cachent leurs ambitions sous les oripeaux d’une prétendue supériorité morale et un principe révolutionnaire.
Pourtant toute personne attentive comprend pertinemment que cette union divisée ne vise que la conquête du pouvoir mais de la mauvaise manière.
Il suffit d’observer son modus operendis, on trouve qu’il ressemble à ceux des enfants prématurés souffrant de leur sentiment d’impuissance face aux adultes et ils utilisent les moyens à leur portée pour se faire une place à la course des grands. L’émotion apparait alors comme le moyen le plus facile de se tailler une place au soleil. Vos agressivités nées de votre égocentrisme démesuré ne sont que la conséquence d’un manque de vision, de stratégie et de tactique. Chose qui prouve l’impossibilité d’atteindre votre objectif et l’incapacité à gouverner.
C’est la raison pour laquelle vos actions sont contre productives à force de votre bavardise inutile. Vous vous rendez même pas compte que plus vous parlez, moins vous avez du pouvoir. Un homme qui ne contrôle pas ses paroles se montre peu maître de lui et, par conséquent, indigne de respect. Le pouvoir ne revient pas à ceux qui gaspillent le trésor de leurs mots.
Pour Said Larifou , Tocha , Ali Mhadji et d’autres bandes qui se sont retirés dans leur tour d’ivoire qui sont très loin de connaitre les souffrances et les attentes des comoriens et qui perdent le contact avec la réalité, vous avez beau être à l’abri pour consommer le poulet frite comme c’est encore délicieux, mais cela ne vous rend pas plus juste ni ambitieux ni intelligent que d’autres encore moins visionneur. La réalité en est que la personne qui connait les souffrances des comoriens durant des longues années et qui est en train d’y répondre favorablement mais progressivement s’appelle Imam Azaly Assoumani.
Ce Président de par ses actions est devenu un aimant. Un aimant au vrai sens du mot qui est une force d’attraction invisible, et les personnes qu’il les attire deviennent à leurs tours magnétiques, attirant à leur tour d’autres éléments à eux. Ainsi, les grandes réalisations du Président Azali ont attiré la confiance, la Sympathie et l’espoir du peuple comorien. Contrairement à vos actes et propos impulsive et irrationnelles n’attirent que le désespoir, la moquerie et la méfiance chez les comoriens. Ce peuple est conscient que s’il retire cet aimant, tout leur rêve s’écroule.
Le Président Azali fut l’aimant, la force invisible qui polarise l’imagination du peuple comorien et c’est la raison pour laquelle aucune force ne pourra l’arracher.
Votre politique immature vous conduit droit aux moqueries sur le fait d’aller jusqu’à nommer deux présidents dans un pays démocratique en moins d’une semaine. Des soit disant présidents qui, leurs palais, ses gardes du corps et son armé se trouve à la planète Mars (très loin du pays) !
De ce point de vu, le devoir majeur de son excellence Imam Azaly et le service de renseignement comorien est d’empêcher ces bébé monstre de grandir, de ramper et de s’installer tranquillement dans notre pays. Par ce que nous avons encore du chemin à faire.
Farahane Ali Bakar, spécialiste en géopolitique
COMMENTAIRES