Oubeidillah Mchangama, privé de son métier de journaliste alors que dans son ordonnance, le juge dit ne pas disposer de preuves suffisant...
Oubeidillah Mchangama, privé de son métier de journaliste alors que dans son ordonnance, le juge dit ne pas disposer de preuves suffisantes à la charge de l'inculpé, ne peut-être réduit au silence. La liberté d'expression ne doit souffrir d'aucune entrave
Début septembre 2020, le journaliste Oubeidillah Mchangama a été arrêté, placé en garde à vue avant d'être transféré devant un juge pour avoir dénoncé, des actes de corruption. Cette arrestation est la dernière d'une longue série.
Début septembre 2020, le journaliste Oubeidillah Mchangama a été arrêté, placé en garde à vue avant d'être transféré devant un juge pour avoir dénoncé, des actes de corruption. Cette arrestation est la dernière d'une longue série.
Oubeidillah Mchangama est souvent arrêté, enfermé puis relâché sans jamais bénéficier de la moindre forme de jugement. Preuve, si besoin était, que le régime en place aux Comores tente, par tous les moyens, de réduire le journaliste d'investigation au silence.
Le 04 septembre 2020, le juge dans son ordonnance, tout en reconnaissant ne disposer d'aucune preuve suffisante à la charge de l'inculpé, ordonne au journaliste d'exécuter une série de mesures liberticides, inventées pour faire en sorte qu'il ne puisse jamais dénoncer, comme il a l'habitude de le faire, les travers du régime dictatorial qui sévit actuellement aux Comores: interdiction de tenir des réunions publiques ou privées, interdiction de s'exprimer dans les médias, interdiction de s'exprimer dans les réseaux sociaux...
Cette pétition, vise à soutenir le journaliste Oubeidillah Mchangama et, à travers lui, tous les journalistes comoriens victimes, au quotidien, d'un régime liberticide. Cette pétition entend sensibiliser à la nécessité de garantir et de préserver dans notre pays, les droits fondamentaux tels: la liberté d'expression, la liberté de la presse...
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