Photo d'archives ©AIMPSI CULAC, CULAK, danger pour le transport aérien ? Kulak est parti. C'est l'entreprise turque de ...
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| Photo d'archives ©AIMPSI |
CULAC, CULAK, danger pour le transport aérien ?
Kulak est parti. C'est l'entreprise turque de Bâtiment Travaux Publics (BTP), que Bashar Kiwan et ses amis avaient fait venir sous Sambi pour réaliser les rêves grandioses que devait financer l'argent de la Citoyenneté Economique.
Certains de ses employés turcs sont restés. Des résultats d'après 9 mois des fusions turco-comoriennes sont de plus en plus visibles dans les groupes de gamins de certains quartiers populaires de Moroni. Des dépositaires des gênes du prophète, s'inquiètent que dans 3 décennies les descendants de Kamal Ataturk, ne se déclarent eux aussi descendants du prophète. On verra.
Dans l'immédiat, un sieur Haydar, ex Kulak, a créé avec l'aide d'une très haute personnalité influente du pouvoir, une société CULAC ou CulaK. L'objectif est de reprendre là où Kulak a déposé les outils. Un concasseur a été importé de Turquie. Cela fait des semaines que de bonnes et honnêtes âmes au sein du pouvoir alertent ceux qu'ils peuvent. Au point de suspecter HaYba de complicité ou d'indifférence parce que nous n'avons rien dit jusqu'à présent.
En fait, à ce stade nous n'avons pas de documents sur la société, et encore moins de preuve de l'illégalité des agréments donnés à CULAK. La concurrence étrangère dans ce domaine est une autre histoire.
Mais nous savons maintenant que la société a commencé à installer ses équipements en face de la piste de Hahaya. Les gens que nous avons envoyés nous indiquent que c'est à environ un demi kilomètre de l'ancien site de concassage. Quel est le problème ?
Selon les lanceurs d'alerte, de ce lieu, la poussière représente un danger pour les avions.
Nous avons interrogé des spécialistes comoriens et étrangers qui nous disent que ce danger est possible.
Nous n'avons pas les capacités techniques d'appréhender les enjeux. Nous ne sommes pas capables de juger du sérieux des réponses qu'on nous donnera. Aussi, s'agissant de sécurité des personnes, nous avons décidé de publier ces rumeurs et supputations. Il appartient aux autorités aériennes, à L'ARSECNA et aux compagnies aériennes de dire si ce ne sont que des conneries.
©Hayba fm
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