Il faut que ça cesse l’hypocrisie de la diaspora de Wa Ngazidja face au régime de leur frère, Azali Asoumani ! Notre brève analyse...
Il faut que ça cesse l’hypocrisie de la diaspora de Wa Ngazidja face au régime de leur frère, Azali Asoumani !
Notre brève analyse et grille de lecture s’articulent éminemment autour de trois axes fondamentaux que l’on peut les sérier comme suit. Dès l’abord, je condamne sans délai et avec la plus grande fermeté certains comoriens de la diaspora de Ngazidja qui s’apprêtent chaque Week-end à jeter le pavé dans la marre à Paris et à Marseille pour objectif assigné de dénoncer de pied ferme le pouvoir de son excellence Azali Assoumani. Chemin faisant, ce sont des opposants malhonnêtes, ni foi ni loi qui ternissent l’image des Comores à l’échelle internationale pour la bonne cause qu’ils défendent la conceptualisation de la démocratie aux Comores.
Effectivement, les WA-NGAZIDJA ne cessent à tour de bras de considérer le président des Comores comme un dictateur. Il peut s’agir d’un élément définitoire ou thématique dépourvue de logico-sémantique dans la mesure où la démocratie existe aux Comores. La preuve en est que tout un chacun s’exprime librement sur les réseaux sociaux sans contrainte de poursuite judiciaire. Il est fort intéressant d’insister sur ce point cardinal que le président Azali Assoumani est réélu par la population comorienne pour un mandant de 10 ans afin de mettre en œuvre son projet gigantesque et de grande envergure visant à bâtir les Comores dans les perspectives de l’émergence vers l’horizon 2030.
Qui plus est, il peut accepter que des brigands bénéficiant des prérogatives de l’Etat comorien à travers les octrois de visas diplomatiques et de services arrivent –ils en France pour semer la zizanie et le désordre ? Sur ce, dites-nous sans barguigner combien des Anjouanais sont intégrés dans la forte délégation qui est venue en France pour assister à la conférence de partenariat qui se tiendra le 2 au 3 décembre à Paris. En outre, combien des Anjouanais ont pu réjouir chaque année des privilèges des Ministère des Affaires Etrangères des Comores, à travers les voyages officiels ?
Toute proportion gardée, il importe que vous preniez acte que l’hôpital de référence de Bambao M’tsamga à Anjouan est en état de mort cérébral à cause de manque de volonté affichée par vos autorités de Grande –Comore. En amont en aval, les autorités natives de Ngazidja sont à l’unanimité de contrecarrer l’hôpital de Bambao M’tsamga en vue de construire un hôpital universitaire de référence à El-Marouf. Il peut s’agir d’une folie humaine et un comportement de chauvinisme extrême de la part de vos autorités de Grande-Comore.
Enfin, la liste est exhaustive, mais il ne faut pas perdre dans cette dimension de vue que les fauteurs de trouble qui haussent le ton, méprisent, dénigrent, misent au banc de la société, insultent, agressent leurs frères de même sang ne sont que des wa-Nganzidja de tous bords. C’est honteux !
BACAR Azihar Abdou
Anjouan révolté, Marseille
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