Une réunion entre les acteurs du secteur privé comorien et l’Union Européenne (UE) s’est déroulée le mercredi 21 novembre 2019 au siège d...
Une réunion entre les acteurs du secteur privé comorien et l’Union Européenne (UE) s’est déroulée le mercredi 21 novembre 2019 au siège de l’UE à Moroni.
Le secteur privé a évoqué les difficultés qu’il rencontre suite au non-respect, par l’Etat, des lois économiques en vigueur pour l’attribution des marchés publics et les irrégularités de traitement au niveau des impôts et taxes douanières pour les importations.
Le secteur privé a demandé à ce qu’il soit impliqué dans les procédures de financement public de l’UE.
La Nouvelle OPACO a affiché ses réserves au Plan Comores Emergent. Comment croire à un plan d’émergence quand le minimum qui existe n’est pas respecté ?
La Nouvelle OPACO a notamment sollicité de L’UE un soutien aux organisations patronales pour que celles-ci puissent mieux se préparer à faire face aux décisions gouvernementales qui sont le plus souvent illégitimes.
Il était question aussi des difficultés de financement et accompagnement pérenne de la formation professionnelle. Les entreprises recrutent une main d’œuvre étrangère alors qu’il existe une ressource humaine locale qui peut être formée.
L’UE a affirmé qu’il prendra compte, dans la mesure du possible, de ces remarques et propositions lors des prochaines programmations d’aides financières. ©Nouvelle OPACO
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