11 candidats qui jouent ensemble comme une vraie équipe de football qui attaque et défend comme un seul homme. C'est ce qu'on a ...
11 candidats qui jouent ensemble comme une vraie équipe de football qui attaque et défend comme un seul homme. C'est ce qu'on a assisté lors du meeting de ce samedi à la place Ajao dans la capitale.
Cette stratégie ne peut donner qu'un public ravi et confiant. Ainsi beaucoup de buts seront marqués et l'adversaire va certainement encaisser une lourde défaite.
Cette stratégie ne peut donner qu'un public ravi et confiant. Ainsi beaucoup de buts seront marqués et l'adversaire va certainement encaisser une lourde défaite.
Au stade d'Ajao on a assisté à un bon match livré par 11 acteurs surmotivés et déterminés à en découdre avec le régime despotique et autoritaire d'Azali. Au même moment un autre meeting s'est tenu à Paris réunissant le diaspora pour le bien commun de notre pays. Le peuple comorien qui a joué le rôle du 12ème homme, a répondu présent malgré les coups fourrés du régime qui voulait à tout prix réduire le nombre de participants afin de montrer que les opposants aux régimes ne sont pas nombreux.
Le gouvernement continue à vouloir indiquer qu'il est le maitre des horloges et qu'il contrôle la partition déjà écrite à l'avance. D'ailleurs quelques cadres corrompus tombent dans le piège et rejoignent Azali par peur et par naïveté. Or, c'est le peuple qui est souverain et qui sera le facteur déterminant de l'élection. Il est à souligner qu'un meeting commun des 11 candidats est nécessaire et primordial dans les autres îles à Moheli et à Anjouan.C'est très intéressant de rééditer et continuer ces meetings communs.
L'avantage est plus que psychologique. Il faut convaincre l'opinion publique que Azali n'est pas majoritaire dans le pays et il faut le démontrer. Il y'a la pointe du clou qui commence à pénétrer dans le mur Azali. Il faut donc donner le coup fatal à ce régime en enfonçant le clou entière. Azali et ses valets commencent à boire la calice et ils doivent la finir jusqu'à la lie.
Mohamed Abdou R.
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