Deux semaines avant les urnes, les opposants à la majorité Présidentielle, manquent d’oxygène : C’est vrai, ces opposants ont compris que l...
Deux semaines avant les urnes, les opposants à la majorité Présidentielle, manquent d’oxygène : C’est vrai, ces opposants ont compris que la population comorienne est cette fois-ci déterminée que d’habitude à voter massivement pour AZALI. Et, ils oublient que gagner des élections à l’heure actuelle aux Comores dépend beaucoup des facteurs :
D’abord, un programme, qui doit rester comme base de projet politique de tout candidat aux élections.
Ensuite, comprendre que vouloir être président c’est œuvrer au service de la Nation, c’est servir la Nation, c’est aussi être capable de conduire la population vers la paix et la stabilité, etc. Or d’aucun des candidats de l’opposition ne réunit ces deux facteurs. Seul, AZALI Assoumani semble incarne cette idéale et donc capable de placer les Comores dans les concerts des nations pour les années avenir avec sa vision de l’émergence des Comores vers 2030.
Et comment la population comorienne peut s’empêcher de faire confiance à la candidature d’AZALI tandis qu’il est le seul à présenter un projet politique palpable pour défendre les comoriens. Les deux dernières années de sa gouvernance, les Comoriens ont compris qu’il a posé les bases pour s’éloigner de la précarité et la dépendance de l’autre. Pour ce fait, l’opposition cherche une marge de manœuvre pour espérer gagner les élections.
Et ils soufflent sans relâche, respire du feu et font appels aux vieux démons : « les vociférations, les mensonges, les calomnies, la paranoïaque et la peur d’aller aux urnes ». Elle fait des appels de pied, elle oublie que la présence des « Partenaires internationaux dans les élections d’un pays » n’a aucun sens que d’augmenter la dette extérieure de cet Etat.
Nous réclamons haut et fort à faire barrage à ceux qui veulent nous conduire vers l’asservissement électoral. Ces politiciens véreux qui tentent vainement de détruire l’image de la Nation comorienne doivent comprendre qu’ils ont échoués dans le pays et qu’ils doivent faire profil bas. Les jeunes pousses filles et fils de la Nation condamne ces méthodes dans notre temps, Car ternir l’image de notre pays à l’international reste une grave erreur dans leur parcours politique.
En avant, les Comores
Une Vision une Nation.
Marseille le 16/03/2019
Assoumani Djoubalasse
Ensuite, comprendre que vouloir être président c’est œuvrer au service de la Nation, c’est servir la Nation, c’est aussi être capable de conduire la population vers la paix et la stabilité, etc. Or d’aucun des candidats de l’opposition ne réunit ces deux facteurs. Seul, AZALI Assoumani semble incarne cette idéale et donc capable de placer les Comores dans les concerts des nations pour les années avenir avec sa vision de l’émergence des Comores vers 2030.
Et comment la population comorienne peut s’empêcher de faire confiance à la candidature d’AZALI tandis qu’il est le seul à présenter un projet politique palpable pour défendre les comoriens. Les deux dernières années de sa gouvernance, les Comoriens ont compris qu’il a posé les bases pour s’éloigner de la précarité et la dépendance de l’autre. Pour ce fait, l’opposition cherche une marge de manœuvre pour espérer gagner les élections.
Et ils soufflent sans relâche, respire du feu et font appels aux vieux démons : « les vociférations, les mensonges, les calomnies, la paranoïaque et la peur d’aller aux urnes ». Elle fait des appels de pied, elle oublie que la présence des « Partenaires internationaux dans les élections d’un pays » n’a aucun sens que d’augmenter la dette extérieure de cet Etat.
Nous réclamons haut et fort à faire barrage à ceux qui veulent nous conduire vers l’asservissement électoral. Ces politiciens véreux qui tentent vainement de détruire l’image de la Nation comorienne doivent comprendre qu’ils ont échoués dans le pays et qu’ils doivent faire profil bas. Les jeunes pousses filles et fils de la Nation condamne ces méthodes dans notre temps, Car ternir l’image de notre pays à l’international reste une grave erreur dans leur parcours politique.
En avant, les Comores
Une Vision une Nation.
Marseille le 16/03/2019
Assoumani Djoubalasse
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