Refus de l’Union européenne de débloquer de l’argent pour les routes et la justice Je ne sais pas pour où commencer mais c’est révol...
Refus de l’Union européenne de débloquer de l’argent pour les routes et la justice
Je ne sais pas pour où commencer mais c’est révoltant d’apprendre cette nouvelle. Mais rien n’est étonnant car notre pays les Comores n’est toujours pas indépendant. Il n’y a pas d’indépendance sans dépendance monétaire. Or le franc des colonies Française nommée Franc CFA appartient toujours à la France.
La banque centrale (BC) Comorienne est contrôlée par la France. On y trouve 4 administrateurs comoriens et 4 Français. Vous savez, la politique d’un pays est définie par la banque centrale.
La banque centrale (BC) Comorienne est contrôlée par la France. On y trouve 4 administrateurs comoriens et 4 Français. Vous savez, la politique d’un pays est définie par la banque centrale.
Pour qu’un projet soit réalisé dans notre pays, il faut l’accord de la France car la décision est prise à la majorité par notre BC. Pourquoi allons-nous demander de l’argent à l’Union Européenne ? Pourquoi nous continuons à financer la France en payant l’impôt colonial ? Pourquoi nous continuons de nous endetter par notre argent sous forme d’aide au développement ? Les Comores ont 4 milliards d’euros sous forme de devise placés dans les comptes d’opérations et géré par le trésor français. Cet argent engendre des intérêts colossaux qui nous sont prêtés sous forme de dette mes chers compatriotes.
Il est temps de se réveiller et de se prendre en main car nous ne pouvons pas développer notre pays par la mendicité. Abandonnons cette monnaie coloniale et prenons en main la destinée de notre pays en créant notre propre monnaie. Nous pouvons par la suite récupérer nos 4 milliards et nous demandons aussi des intérêts par la voie de la justice internationale. Vous savez les Comores comme les 14 pays qui utilisent cette monnaie coloniale ne peut rien acheter ni vendre à l’extérieur sans l’accord de le France.
On a une indépendance formelle. Une fois que nous prenons en main notre banque centrale, nous pouvons financer tous les projets de développement dans notre pays. Tous les comoriens partout où ils sont travaillent pour financer la France. C’est la servitude monétaire. Il n’y a pas de liberté sans indépendance. La colonisation n’a jamais cessé dans les pays qui utilisent cette monnaie de singe. Celui qui est pillé (les Comores) ne peut pas discuter avec le pilleur (la France) pour mettre fin au pillage.
Je lance un appel solennel à la jeunesse comorienne de se réveiller, de se solidariser afin de lutter contre cette injustice qui dure depuis des millénaires et qui est appelée à durer sans notre réaction. Vaut mieux la liberté dans la pauvreté à la richesse dans l’esclavage. Nous travaillons pour financer la retraite des français et le développement des pays Européens en leur fournissant gratuitement nos matières premières et nos devises.
On a une indépendance formelle. Une fois que nous prenons en main notre banque centrale, nous pouvons financer tous les projets de développement dans notre pays. Tous les comoriens partout où ils sont travaillent pour financer la France. C’est la servitude monétaire. Il n’y a pas de liberté sans indépendance. La colonisation n’a jamais cessé dans les pays qui utilisent cette monnaie de singe. Celui qui est pillé (les Comores) ne peut pas discuter avec le pilleur (la France) pour mettre fin au pillage.
Je lance un appel solennel à la jeunesse comorienne de se réveiller, de se solidariser afin de lutter contre cette injustice qui dure depuis des millénaires et qui est appelée à durer sans notre réaction. Vaut mieux la liberté dans la pauvreté à la richesse dans l’esclavage. Nous travaillons pour financer la retraite des français et le développement des pays Européens en leur fournissant gratuitement nos matières premières et nos devises.
Celui qui se bat pour la liberté de son peuple mourra d’un martyr. Nous parlons toujours d’Ali Soilihi, de Thomas SANKARA au détriment des marionnettes françaises qui sont actuellement au pouvoir en Afrique. Par De Mbamba
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