Thématiques des assises terminées. La danse peut donc commencer. Tout le monde est content sauf Azali, qui, selon les indiscrétions o...
Thématiques des assises terminées. La danse peut donc commencer.
Tout le monde est content sauf Azali, qui, selon les indiscrétions obtenues lors de sa dernière visite au CPAN, le président aurait laisser entendre que le travail fait était en deçà de ses attentes. En réponse au président de la République un haut responsable des assises indiquait la courtesse du temps imparti. Soulignons au passage, que la CPAN n'a pas été consultée pour la sortie du décret convoquant les assises, un dysfonctionnement, ça c'est la partie décor.
Le plus dur reste à venir, l'incertitude du lendemain, la tenue des assises est présentée comme un succès, certes pour le pouvoir, ce n'est qu' une bataille gagnée, mais qui gagne une bataille ne gagne pas forcément une guerre.
La pédagogie de l'exercice du pouvoir est en décalage du temps, un temps où le besoin de liberté est de plus en plus croissant par la compression du temps lié à l'Internet.
On ne peut prétendre œuvrer pour le bien de son peuple tout en jetant l'opprobre sur lui. On nous parle de tortures de La jeunesse, restriction des mouvements des citoyens, les contrôles policiers, les interdictions faites aux partis politiques de tenir des réunions au moment où le pouvoir battait campagne sans nous dire pour quelle élection faisait-il Campagne. Les assises sont elles une élection?
Le pouvoir a d'ores déjà perdu, la vraie guerre, celle de la liberté, non à la torture. Daoud Halifa