C'EST COMME SI NOUS ÉTIONS LIÉ À LUI PAR UN ACCORD TACITE AU TERME DUQUEL SI CE N'ÉTAIT PAS LUI LE PRÉSIDENT DE LA CHAMBRE D...
C'EST COMME SI NOUS ÉTIONS LIÉ À LUI PAR UN ACCORD TACITE AU TERME DUQUEL SI CE N'ÉTAIT PAS LUI LE PRÉSIDENT DE LA CHAMBRE D'AGRICULTURE DE LA PÊCHE ET ET DE L'ÉLEVAGE, ALORS LA CHAMBRE NE DEVRAIT PAS EXISTER
Le Chef d'antenne du SNAC à Ngazidja, M'zaoir Soilihi, dénonce dans une conférence de presse, l'attitude du président du SNAC durant l'élection de la chambre d'agriculture de l'union des Comores.
Le Snac était impliqué dans les travaux de préparation de cette élection. Et le président du Snac, Issa M'hadji, s'y ètait lui-même présenté candidat jusqu'au samedi à 16h, correspondant à la veille même des élections. Il a exactement entendu jusqu'à cette soirée là, à une nuit avant les élections déjà tout organisées, pour venir retirer sa candidature et aller porter plainte remettant en cause les mêmes élections. Mais sans surprise, Il a été débouté de sa plainte en Instance comme en appel.
Pendant ce temps-là, étant candidat moi même, j'ai naturellement maintenu ma candidature, je n'ai pas gagné, contrairement à mes autres collègues du Snac, le président de celui d'Anjouan, le trésorier du Snac et le président du Snac de Moheli qui se sont ralliés au président Momo dès le premier tour, sont élus.
Après l'élection du président Momo, Issa M'hadji a continué ses manœuvres pour faire annuler celle-ci une première fois, une deuxième fois et une troisième fois. Malheureusement pour lui, le président Momo l'emportait à chaque fois, avec une majorité écrasante, au niveau national. Son élection fut même à l'unanimité. L'attitude du président Issa M'hadji est troublante et égoïste. Une fixation nombriliste.
Lui ou rien. Quitte à remettre tout en cause, même notre travail en commun. Oubliant qu'il s'agissait d'élire un représentant pour les intérêts des autres et non de soi même. Oubliant que beaucoup de gens attendaient l'issu de ces élections afin que la première chambre du secteur primaire puisse enfin naître.
C'est comme si on s' était mis d'accord que si c'était pas lui, le président de la chambre d'agriculture de l'élevage et de la pêche ne devait pas exister. Oubliant que depuis 2005, nous avons tous oeuvré pour la mise en place de cette chambre. Cette attitude mesquine est déplorable.
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