Monsieur le Président de l'union des Comores, nous vous alertons au sujet d’un grave problème concernant notre sécurité intérieure. ...
Monsieur le Président de l'union des Comores, nous vous alertons au sujet d’un grave problème concernant notre sécurité intérieure.
Depuis quelques jours, plusieurs déclarations sur les réseaux sociaux accusent votre ministre de l'intérieur et porte parole du gouvernement d'être à la tête d'un réseau mafieux de vente de faux passeports comoriens à des ressortissants étrangers. Plusieurs noms ont été cités dont des proches collaborateurs du ministre de l'intérieur.
Au début nous avons cru à un "fake" qui a voulu faire le buzz sur les réseaux sociaux mais monsieur le Président, votre ministre n’a toujours pas réagi sur ces faits. Nous demandons tout simplement la démission du ministre de l'intérieur car malgré l’extrême gravité des accusations, Kiki s’est muré dans le silence car les deux hommes se connaissent très bien. Monsieur le Président vous avez commis une erreur en nommant Kiki ministre de l'intérieur et porte parole du gouvernent car vous étiez déjà au courant du passé de cet homme à la tête de la direction des douanes comoriennes.
Monsieur le Président, il est encore temps de vous séparer de ce ministre, lui qui a pillé les caisses de la douane comorienne pendant la période de Sambi. Monsieur le Président, nous avons voté pour vous au second tour des présidentielles pour barrer la route à l'UPDC et aujourd'hui nous ne regrettons pas.
Nous ne sommes pas des opportunistes qui ont besoin des postes politiques, notre combat patriotique est pour l'intérêt général du pays. Monsieur le président, nous savons que vos proches collaborateurs vous cacheront toujours la vérité et vous diront tout va bien. Vous savez monsieur le Président qu'une orange pourrit tout un panier comme un fruit à pain ( RADHI).
Nous sommes convaincus que monsieur le Président vous ne jouez pas avec la sécurité de notre nation et que vous allez vous réveiller à temps avant que ça soit trop tard. Amine! Nous vous remercions. ©Les indignés