C'était avant tout un père charismatique, un leader d'un parti politique qui a fait ses preuves dans le patriotisme et l’honnêteté ...
C'était avant tout un père charismatique, un leader d'un parti politique qui a fait ses preuves dans le patriotisme et l’honnêteté à l'égard du pays: le PCDP Djamnazi de l'immaculé SAID ALI MOHAMED et et du nationaliste ALI MROUDJAE.
Celui qu'on appelle avec modestie "Ya latuf", par sa patience et sa sérénité nous offre aujourd'hui une image dangereuse pouvant mener le pays de l'implosion à l'explosion.
Il est à la tête de la plus haute institution juridique du pays. Plus qu'un Chef de l'Etat, il a une grande marge de manœuvre pour lire le droit en toute liberté. Ses décisions sont irrévocables. Il a eu la chance d'avoir au sein de son institution, un habile intellectuel ayant partagé le même parti poltique, et détenant une parfaite maîtrise de la politique de l'institution.
Le ridicule ne tue pas, mais à en croire les tergiversations de la CENI, on pourrait s'acheminer vers un quatrième tour, peut être, cette fois dans les deux localités, BIMBINI et BOUNGWENI. Ce serait le moindre mal, sinon Monsieur LOUTFI et quatre collègues vont décider de passer en force les candidats MAMADOU et ANISSI, convaincus que les chiens peuvent toujours aboyer, mais n'arrêteront jamais la caravane. Cette lourde responsabilité engage Monsieur LOUTFI avec des conséquences immédiates et dont les répercussions seront à long terme.
Franchement, j'èspère à un sursaut de sagesse du Grand LOUTFI que j'ai cotoyé, admiré et connu par sa finesse d'esprit.
Je me constitue partie civile contre DJAZA et MAHAMOUD BOINA pour entrave à la démocratie, corruptions et tentatives de déstabilisation du pays. J'appelle aux premiers magistrats du pays et des îles à prendre acte de ma plainte juste après le 26 Mai.
Par Ben Ali Combo