Oui la démocratie, Oui la partielle Dans les rues de Moroni et partout dans les quatre coins de l’archipel des Comores, sur les places ...
Oui la démocratie, Oui la partielle
Dans les rues de Moroni et partout dans les quatre coins de l’archipel des Comores, sur les places public sur les réseaux sociaux, l’information sur une annulation du scrutin du 10 Avril et l’organisation d’une élection partielle est de plus en plus grandissante.
La majorité des Comoriens est favorable pour cette option y compris certains cadres et militants de la CRC car la stabilité et la sécurité du pays en dépend.
Le camp Azali a fraudé l’élection et tout le monde le sait. Ironie du sort ce sont eux qui durant toute la campagne électorale ont accusé Mohamed Ali Soilihi de tricheur, aujourd’hui les Comoriens ont vraiment compris qui est qui dans l’histoire, qui sont les fraudeurs et sont furieux contre les agissements d’un Azali Assoumani recordman des coups d’état aux Comores.
Après le coup d’état militaire de 1999, le coup d’état électoral de 2002 dont il était le seul candidat au second tour après avoir tricher honteusement, voilà qu’il agrandit son palmarès en 2016 avec un coup d’état institutionnel orchestré par son ami l’indésirable Hamada Madi Boléro. C’est du jamais vu aux Comores ni nul part ailleurs dans le monde.
Ayant compris la dangerosité des agissements du colonel putschiste, la communauté internationale, les candidats Mohamed Ali Soilihi et Mouigni Baraka, la classe politique comorienne ainsi que les citoyens Comoriens sont unanimes pour l’organisation d’une élection partielle pour que le future président des Comores soit élu d’une façon démocratique par tous les citoyens.
Ils refusent que 11200 électeurs soient privés de leur droit au profit d’un seul homme qui a lui-même organisé le pillage et la destruction des bureaux de vote. L’organisation d’une élection partielle serait une bonne nouvelle pour les Comores et une belle leçon de démocratie à des individus sans foi ni loi déterminés pour détruire les Comores.
Bien évidement il est à noter que la décision de l’organisation d’une élection partielle appartient à la Cour Constitutionnelle, mais au vu du déroulement des événements et l’engouement que suscite cette démarche introduite et initiée par Mohamed Ali Soilihi et Mouigni Baraka et encouragée par les nations unis, l’union Africaine, l’union européenne et l’ensemble de communauté international, l’option fait l’unanimité.
Retranché et isolé dans leurs bêtises, le camp Azali peine a trouvé des arguments solides et se contente de leurs mensonges habituels sur les réseaux et certains pseudo médias corrompus en appelant à la haine, la violence, la division et les menaces quotidienne dont tous le monde se moquent.
Said Abdallah