Chers ami(e)s, Je sors de mon silence somme relative pour exprimer mon indignation face à la montée de l'intolérance politique aux...
Chers ami(e)s,
Je sors de mon silence somme relative pour exprimer mon indignation face à la montée de l'intolérance politique aux Comores et surtout aux appels à la guerre civile commandée par des gens dont la plupart sont établis à l'étranger.
Les Comores est notre pays et la paix est notre trésor à tous, rien ni personne ne doit nous enlever cette richesse.
Aucune cause ne saurait justifier les appels à la violence et aux meurtres lancés par des gens pour exprimer leur soutien à leur Candidat.
Les Comores sont liées par des conventions internationales contre la haine, la guerre civile et pour la protection des droits humains et la démocratie. Les législations nationales modernes permettent et autorisent des poursuites contre les auteurs des écrits et scènes qui incitent à la violence et à la guerre civile.
Ceux qui pensent pouvoir s'abriter derrière leurs claviers en France et ailleurs pour inciter aux violences meurtrières aux Comores doivent comprendre qu’ils n’agissent pas pour le bien des Comoriens.
La loi autorise tout citoyen comorien établi aux Comores ou France à saisir la justice contre ces gens pour tous ses agissements tendant à porter à teinte à la paix, à la stabilité et à l’intégrité de notre pays. Des tels comportements dangereux, intolérables, honteux et révoltants doivent être, identifiés et condamnés par toux ceux qui aiment notre pays et qui œuvrent pour la paix et la stabilité de notre nation.
Ces incivilités ne doivent pas rester impunies, et nous devons tous veillez à ce la paix et la stabilité des nos iles soient préservées.
Un collectif pourrait même écrire une lettre à l'ambassadeur de France à Moroni pour se plaindre de ces faits imputables à des Franco comoriens.
Indigné face à des tels agissements à dimension variables, dangereux ; dans ce pays dont la paix et la stabilité me sont sacrées, et je ne garderai pas le silence face aux incitations à la haine, à la violence et aux meurtres heurtant notre paisible patrie. Nous ne devons pas tolérer des telles irresponsabilités.
SAID LARIFOU
Président du RIDJA