COMMUNIQUE Le site Internet « Habari Za Komori » a publié ce jour 23 mars 2016 un papier dont le contenu est à l’image de l’auteur qui ...
COMMUNIQUE
Le site Internet « Habari Za Komori » a publié ce jour 23 mars 2016 un papier dont le contenu est à l’image de l’auteur qui l’a publié, un certain Moustoifa SAID HASSANE. Un réquisitoire sans fondement aucun, si ce n’est la volonté de nuire à celui dont la population de Ngazidja a placé en deuxième première position (pardon en deuxième position) lors du dernier double scrutin présidentiel et des gouverneurs du 21 février dernier. Tous les indicateurs montrent que cette tendance du premier tour devrait s’intensifier et se confirmer au second tour Insha ALLAH.
L’auteur-diffamant reconnaît qu’il arrive que Hassane Hamadi ait « des bonnes idées et met en chantier des projets intéressants… » et tenons à le remercier sur ce point, car justement les Comores ont besoin des hommes et femmes politiques qui soient à la hauteur de leurs tâches, proposent des bonnes idées et prennent des initiatives pour trouver des solutions aux problèmes de santé, d’énergie, d’emploi, d’éducation... C’est exactement ce que Hassane Hamadi s’est acharné de faire en créant les écoles de la deuxième chance, les auto-écoles…soit une autre manière de faire de la politique. Certains sont pérennes et d’autres non car cela dépend de beaucoup de facteurs notamment économiques, conjoncturels et autres. Les chiffres parlent de près de 2000 élèves sauvés par ses écoles de la deuxième chance, crées par le candidat du peuple.
Qu’en est-il de son concurrent ? Il se contente d’user des biens de l’Etat pour asseoir une politique clientéliste, de favoritisme au détriment de la majorité du peuple comorien. Tout sauf le meilleur exemple qu’il faudrait montrer à la nouvelle génération.
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Concernant l’affaire ACHLEY et Air Comores ou l’EEDC, l’on ne peut reprocher à un expert, fut-il Hassane Hamadi ou autre, d’avoir fait son travail en toute honnêteté, à savoir relater l’état de santé financier des groupes Air Comores et de l’EEDC et d’avoir été rémunéré pour cela en tant qu’expert.
Le reste de la décision de vendre ou non les sociétés, de les privatiser ou non, d’ouvrir le capital ou non, revenaient évidemment au politique, en l’occurrence au célèbre homme qui a marqué l’histoire du régime de Djohar dont nul besoin de citer son nom. Hassane Hamadi n’est responsable ni de près ni de loin à une quelconque décision politique qui aurait décidé du sort des deux sociétés après avoir rendu ses rapports d’expert.
D’ailleurs, rappelons-nous que le président feu Taki Abdoulkarim a destitué Hassani HAMADI de la direction de la CEE ( ex EEDC) pour avoir ordonné aux techniciens de couper l’électricité de la demeure du président Taki à Vanamboini en 1997. Pour lui c’est au président de donner en premier l’exemple. Une première dans l’histoire de notre pays !
Alors que Hassane Hamadi fut ministre des finances pendant 9 mois, l’auteur de cette diatribe contre notre candidat lui reproche encore une fois d’avoir mis en place un système de paiement régulier des salaires des fonctionnaires et un système de crédit accordé aux salariés, en signant un contrat avec un établissement financier et de crédit chargé de verser les salaires tous les mois. Quelle aberration ! Que l’Etat n’ait pu honorer ses engagements de rembourser ses dettes auprès de l’établissement financier et de crédit SNPSF en quoi cela rend mauvaise cette bonne idée ? Au lieu que ce soit les fonctionnaires qui soient pénalisés de leur pouvoir d’achat mensuel, le candidat Hassani Hamadi a fait en sorte que c’est l’Etat qui soit endetté auprès de la banque. Une idée innovatrice à la lumière de ce qui se fait ailleurs dans le monde.
En ce qui concerne son poste de président du conseil de l’Île, il a démissionné de son fauteuil car il a estimé que sa vision n’était pas en adéquation avec la majorité qu’il devait présider. Au lieu de se contenter des indemnités et avantages divers du fauteuil, il a préféré y assister en tant que conseiller en toute liberté.
Enfin, nous sommes à quelques jours du rendez-vous du second tour qui a lieu le 10 avril prochain et la panique semble atteindre les partisans de l’autre candidat concurrent Aby, le candidat du système. Les partisans de Aby savent que la victoire est du côté du peuple et rien ne peut l’empêcher sauf la volonté de Dieu. Tous les tiroirs sont fouillés au peigne-fin pour essayer de trouver une casserole contre Hassani Hamadi, en vain. Hassani Hamadi n’a jamais été ennuyé par une quelconque affaire judiciaire et nous défions quiconque pourrait nous révéler une affaire sale de détournement de fonds public à son encontre.
Nous appelons le peuple comorien à ne se laisser aucunement perturber par des propos insultants et haineux formulés contre Hassani Hamadi. La vraie réponse à ces bassesses se fera par le peuple le 10 avril prochain.
Le comité de soutien du candidat Hassani HAMADI en France.
