PROJET DE TRACT En 2016, les comoriens doivent choisir le meilleur président pour le pays Avec le Général SALIMOU pour bâtir un pays...
PROJET DE TRACT
En 2016, les comoriens doivent choisir le meilleur président pour le pays
Avec le Général SALIMOU pour bâtir un pays prospère et digne
Suite à nos enquêtes sur les candidats à l’élection présidentielle de 2016 aux Comores, notre attachement au pays nous a conduits, aussi loin où nous nous trouvons, à nous engager pour la première fois dans la vie politique pour soutenir le Général SALIMOU dans son ambition de présider aux destinées de notre pays.
Nous sommes des jeunes issus de la classe populaire, filles et garçons engagés dans l’unique objectif de contribuer à offrir à notre pays un président capable de mettre le pays sur la voie optimale de la prospérité. Nous sommes conscients que 2016 est une année charnière pour le pays et pour laquelle nous devons éviter la moindre erreur fatale. Nous ne pouvons pas rester indifférents ou simples spectateurs face à ce qui se passe dans notre pays car en réalité les décisions d’aujourd’hui sont les semences d’avenir pour notre génération et pour demain.
Ainsi, notre idée est simple : il nous faut un homme honnête, sérieux, patriote, qui a la capacité intellectuelle, le sens du dévouement et du sacrifice, ainsi que la vision nécessaires pour la refondation de notre pays. Le Général SALIMOU est, à nos yeux, l’homme qu’il faut aux comoriens pour cette mission. Son passé clean, son incorruptibilité, son patriotisme, son intégrité et sa foi en Dieu plaident pour lui. Il s’attache, depuis qu’il a décidé de briguer la magistrature suprême, à impliquer toutes les composantes de notre société, à rallier en particulier la jeunesse et la femme comorienne à ses côtés. Sa vie et son parcours nous interpellent.
L’enfance du Général SALIMOU :
Né le 06/08/1962, il est orphelin de père à l’âge de 10 ans environ. Cet handicap ne l’a pas empêché de réussir. Toute son enfance, le jeune SALIMOU aimait beaucoup les livres, les études et le sport, notamment le football. Paisible toute sa jeunesse il n’a jamais eu de problème avec personne. Mais s’il il fut un enfant discret, il était très visible en classe par ses notes et son intelligence. Après ses études coraniques et le bac en poche, le fils de Dzahadjou Hambou, après quelques mois passé à l’école de Mvouni, part en France pour de brillantes études militaires et académiques.
Un parcours militaire et académique jalonnés de succès :
Suite à un concours, SALIMOU fut le seul retenu pour la prestigieuse Ecole Militaire de Saint-Cyr en France ; L’Histoire retiendra qu’il est le premier comorien admis dans cette école qui forme la crème des officiers français et francophones.
Parallèlement à sa formation militaire, il poursuit des études d’Histoire à la Sorbonne (Licence) et ensuite à Montpellier III (Maitrise et DEA). Il continue ensuite son cursus par des formations de haut niveau en France, au Sénégal, aux USA, en Afrique du Sud, à l’Université de la défense Nationale de Pékin en Chine, etc.
Attaché au savoir, le Général SALIMOU, alors qu’il n’était que jeune lieutenant, a remporté en 1991 la finale du championnat comorien d’orthographe (catégorie seniors) et a participé à la super finale du 11 Avril 1992 à New York aux Nations Unies. Il a une formation militaire et académique qui n’a rien à envier aux meilleurs officiers tant francophones qu’anglophones. Il avait commencé à préparer une thèse de doctorat en science politique; il préfère, suite à cet appel du devoir national, sacrifier son doctorat pour son pays.
Ses Actions au sein de l’Armée :
En tant que directeur de l’ENFAG (Ecole Nationale des Forces Armées et de la Gendarmerie), il a privilégié le DIH (Droit International Humanitaire), la formation civique ainsi que la formation linguistique (langue anglaise notamment) en vue d’avoir une armée à la fois professionnelle et en phase avec la modernité. Il lança un partenariat avec l’Université des Comores dans ce sens, dans le souci également de rapprocher les militaires et les civils.
Lorsqu’il devint chef d’état-major, il fit participer l’AND à la protection de l’environnement et à la propreté de la ville de Moroni. Il reprit les installations de la ferme de Sangani au sein de l’armée pour faire contribuer l’AND au développement agricole, donc et économique du pays.
Un militaire patriote et intransigeant sur les principes :
Les comoriens se souviennent du refus du général SALIMOU de laisser les mercenaires libyens accéder au camp de Kandani. Il a également osé dénoncer les violations de la Constitution comorienne par l’ex président Sambi ; il a œuvré pour le maintien de la tournante au profit des Moheliens. Malheureusement, ses actes de démocrate ont été mal compris par certains leaders politiques qui souhaitaient qu’un coup d’état soit la réponse aux violations de la Constitution par Sambi. Au contraire, il a affiché une attitude républicaine exemplaire, digne de sa fonction et de son statut.
Un militaire libérateur :
En quelques mois seulement, il a pu régler définitivement la question du séparatisme anjouanais en mobilisant l’armée et les comoriens et en assumant le commandement-en-chef de l’opération de débarquement d’Anjouan menée sous l’égide de la communauté internationale. Une opération dite amphibie, une des rares au monde à avoir réussi avec professionnalisme et zéro mort. Malgré les pressions des ennemis intérieurs, les chantages extérieurs, les marchandages exercés pour qu’il fasse marche arrière, le général n’a pas cédé d’un iota. Avec cette volonté de fer, il a réussi là où tous ses prédécesseurs chefs d’état-major ont échoué. Il a sauvé la dignité de notre armée et a gommé à jamais le sobriquet honteux qui lui était collé, résumé par « NayiléYilalé ». (Manger et dormir seulement).
Le premier et seul Général de l’armée :
Le succès de cette opération lui valut d’être nommé Général, le premier et le seul aux Comores. Répondant à une invitation de Pékin où il fut accueilli avec tous les honneurs après ce succès militaire, le Général demanda et obtint un bateau, lequel constitue la charpente de l’unité Garde-côtes des Comores aujourd’hui.
La notoriété du général SALIMOU s’étendit au niveau régional, voire international ; il joua un rôle inoubliable et inoublié au sein de la Brigade en attente de l’Afrique de l’Est, devenue maintenant Force en attente de l’Afrique de l’Est (EASF) ; il y assuma les fonctions de président des chefs d’état-major de 2010 jusqu’à sa détention en Aout 2010.
Le général SALIMOU avait lancé un chantier de restructuration de l’armée ; il avait déjà commencé à privilégier une culture du mérite au sein de l’armée et renforcé les critères et mécanismes de sélection. Beaucoup de militaires osent dire aujourd’hui clairement : « c’est sous le commandement du général SALIMOU que nous avons compris que les stages n’étaient pas réservés aux officiers ». En effet, avec lui, même les soldats bénéficiaient d’autant de stages à l’extérieur que les officiers et sous-officiers.
Le général SALIMOU lança également la construction de bâtiments devant servir de quartier général pour un état-major digne de ce nom. Ce bâtiment est aujourd’hui en ruines : tout se passe comme si certains de ses successeurs ont peur de ses réalisations et préfèrent les cacher, les effacer ou les nier.
Un républicain honnête et incorruptible :
Il refusa de prendre le pouvoir par un coup d’état malgré la pression de l’opposition. Le Général n’a jamais profité de sa fonction pour se servir des deniers publics et a toujours évité la corruption. A son arrestation, ses ennemis n’ont trouvé aucune trace de malversation. Ils avaient tout fait pour le souiller mais son honnêteté prit sa défense contre ses ennemis.
Un général pauvre ;
Il est pauvre comme l’écrasante majorité des comoriens. ll préfère la dignité plutôt que l’opulence de l’argent volé. Il est le plus gradé de l’armée et pourtant il est parmi les militaires les plus pauvres. Sa simple solde subvenait à peine aux besoins de sa nombreuse famille ; n’ayant pas de maison, il vit sous le toit de sa belle-mère.
Le Général patient qui croit en la justice et en Dieu :
Le général est un homme pieux et patient. Dans les épreuves d’humiliation qu’il a connues, il a fait preuve d’une sérénité et d’une patience hors du commun. Il a toujours cru en la justice du pays en général, et en particulier celle d’Allah car ce dernier est toujours du côté des victimes. Malgré la détermination de politiciens qui ont voulu, par un complot éhonté, briser cet homme honnête dans un pays de corrompus, SALIMOU a refusé d’être libéré sans passer devant la justice pour prouver son innocence et éviter toute incompréhension par le peuple. Et le 2 Novembre 2012, il fut donc acquitté et lavé de tout soupçon à l’unanimité du jury.
Un candidat pour le vrai changement :
Notre pays continue de souffrir des maux causés par des dirigeants affamés d’argent et assoiffés de pouvoir qui veulent revenir encore aux affaires pour l’achever à un moment critique de son histoire. Qui a bu boira ; qui a volé volera. Ils veulent barrer la route au Général SALIMOU pour lui éviter d’apporter aux comoriens et aux Comores les conditions nécessaires pour un vrai changement, faire des Comores un pays d’espoir.
Le Général SALIMOU est habitué aux devoirs les plus sacrés, expérimenté pour surmonter les défis les plus difficiles. Sa candidature est celle du Devoir National. Car en 2016, le pays doit vraiment prendre un nouveau cap, une nouvelle gouvernance et un vrai changement. Les enjeux l’exigent, et c’est un homme qui aime son pays, qui est prêt à se sacrifier pour son peuple, qui sait s’acquitter de ses devoirs patriotiques qu’il faut pour les Comores de 2016.
Par Ibrahim Abdou