2016 pourrait être l’année le plus noir des peuples comoriens. L’ancien et l’actuel chef de l’Etat sont les investigateurs de cette guerre. ...
2016 pourrait être l’année le plus noir des peuples comoriens. L’ancien et l’actuel chef de l’Etat sont les investigateurs de cette guerre. Tous les deux s’investissent jour et nuit pour mener le pays, déjà fragile d’une stabilité, miné d’une crise la plus meurtrier ; ni salaire ni électricité, dans le chao total. Aucun plan de sorti, concret, n’est pas dans les esprits des autorités du pays, déterminés à anéantir le peuple à tout prix, pour leurs intérêts personnels.
Dix ans d’un pouvoir (SAMBI-IKI) qui a conduit le pays petit à petit à la dérive la plus absolue. Le voila, le tandem, Sambi-Iki, divorcé il ya 3 ans, réuni pour la même cause : l’ancien bête noir du pays ; instabilité politique, sociale et économique. Ils veulent sans se soucier du peuple déjà meurtri, imposer leurs idées noires vitupérés.
Sambi veut revenir au pouvoir. L’homme est connu, ne vouloir pas entendre raison et son indifférence à ce qui est lois et règles. La constitution, qui l’a investit Président en 2006 et un referendum d’amendement de la constitution pendant sa règne, n’est pas favorable à sa candidature à la magistrat suprême de l’Etat. La tournent revient à l’ile autonome de Ngazidja et à ses enfants. Une question se pose alors. On sait que Sambi est conscient du vrai résultat du referendum de 2009. Il sait bien que les comoriens n’ont pas voté sa constitution, comme sa citoyenneté économique. Comme sa constitution est caduque, croit-il que le pays est sans constitution. On lui rappelle qu’à défaut de sa constitution, celle de 2001 est toujours en vigueur. Non plus, ne le permet pas de briguer la présidence de l’Union. Le plus mal, 40 ans d’indépendance, des hommes dits intellectuels veulent bafoués notre constitution pour leurs intérêts mesquins.
Cette fois Sambi est incompris, son verbiage dit éloquent aphone ; il revient à son chiisme : régner par le mensonge et la manipulation, enfin la guerre. Les comoriens céderons à son chantage ?
Le cas d’Iki est plus étrange ce dernier temps. Toutefois l’homme incarnait l’homme de paix et de stabilité. Comme il vient de le montrer aux dernières élections de députés, conseilleurs des iles et municipaux. Mais il semble qu’Iki vient de changer de casquette. Sa prise de position pour la candidature de Mohamed Ali Soilihi, alias Mamadou, démontre bien son intention à déstabiliser le pays. Le cinq ans de son mandat moribond, il veut enterrer les comoriens vivants cette fois. Cependant, sachez que le peuple comorien n’est pas d’accord, prêt à prendre les armes pour défendre leur survie. La misère imposée par Mamadou (ni salaire ni électricité, et autres) aux comoriens ne doit pas continuer. Le peuple a assez souffert. Monsieur le président vous savez l’impopularité criante du peuple pour Mamadou. Vos intentions à vouloir truquer les résultats, comme l’a fait Sambi pour vous, nageront le pays dans un bain de sang.
Hassan Msaidie
Enseignant ©habarizacomores.com
Dix ans d’un pouvoir (SAMBI-IKI) qui a conduit le pays petit à petit à la dérive la plus absolue. Le voila, le tandem, Sambi-Iki, divorcé il ya 3 ans, réuni pour la même cause : l’ancien bête noir du pays ; instabilité politique, sociale et économique. Ils veulent sans se soucier du peuple déjà meurtri, imposer leurs idées noires vitupérés.
Sambi veut revenir au pouvoir. L’homme est connu, ne vouloir pas entendre raison et son indifférence à ce qui est lois et règles. La constitution, qui l’a investit Président en 2006 et un referendum d’amendement de la constitution pendant sa règne, n’est pas favorable à sa candidature à la magistrat suprême de l’Etat. La tournent revient à l’ile autonome de Ngazidja et à ses enfants. Une question se pose alors. On sait que Sambi est conscient du vrai résultat du referendum de 2009. Il sait bien que les comoriens n’ont pas voté sa constitution, comme sa citoyenneté économique. Comme sa constitution est caduque, croit-il que le pays est sans constitution. On lui rappelle qu’à défaut de sa constitution, celle de 2001 est toujours en vigueur. Non plus, ne le permet pas de briguer la présidence de l’Union. Le plus mal, 40 ans d’indépendance, des hommes dits intellectuels veulent bafoués notre constitution pour leurs intérêts mesquins.
Cette fois Sambi est incompris, son verbiage dit éloquent aphone ; il revient à son chiisme : régner par le mensonge et la manipulation, enfin la guerre. Les comoriens céderons à son chantage ?
Le cas d’Iki est plus étrange ce dernier temps. Toutefois l’homme incarnait l’homme de paix et de stabilité. Comme il vient de le montrer aux dernières élections de députés, conseilleurs des iles et municipaux. Mais il semble qu’Iki vient de changer de casquette. Sa prise de position pour la candidature de Mohamed Ali Soilihi, alias Mamadou, démontre bien son intention à déstabiliser le pays. Le cinq ans de son mandat moribond, il veut enterrer les comoriens vivants cette fois. Cependant, sachez que le peuple comorien n’est pas d’accord, prêt à prendre les armes pour défendre leur survie. La misère imposée par Mamadou (ni salaire ni électricité, et autres) aux comoriens ne doit pas continuer. Le peuple a assez souffert. Monsieur le président vous savez l’impopularité criante du peuple pour Mamadou. Vos intentions à vouloir truquer les résultats, comme l’a fait Sambi pour vous, nageront le pays dans un bain de sang.
Hassan Msaidie
Enseignant ©habarizacomores.com