Elle s'appelle Housnat Bahassane . Âgée de 23 ans, elle est étudiante en Droit à l'Université Mohamed Premier Oujda. Au Maroc, elle ...
Elle s'appelle Housnat Bahassane. Âgée de 23 ans, elle est étudiante en Droit à l'Université Mohamed Premier Oujda. Au Maroc, elle tente de matérialiser son rêve de faire des études pour ouvrir un cabinet privé. Originaire de Moroni, elle raconte le combat quotidien de la vie d'étudiant et ses ambitions. Micro.
"Depuis toute petite, j'ai toujours eu l'ambition de faire Droit comme Formation. Mes motivations étaient en premier lieu de connaître mes Droits et ensuite connaître le fonctionnement de la société moderne.
Comme nous le savons, la vie estudiantine est loin d'être facile surtout lorsque on se trouve à l'étranger et loin de sa famille. Mais n'empêche qu'on apprend à devenir mature. Au Maroc, on ne met pas en doute nos capacités ou nos compétences. Seulement certains rencontrent des difficultés dans la vie quotidienne.
Je veux dire les difficultés liées au climat, l'insécurité ou les persécutions des personnes à des mentalités limitées. Cependant, les hauts et les bas c'est partout dans le monde. Je fais surtout allusion à certaines personnes au pays qui croient que quand on est à l'extérieur, on mène forcement la belle vie. Malgré toutes ces difficultés, grâce à ma volonté de réussir et au soutien moral et financier de mes parents et certains proches, je m'accroche et je me bats afin d'atteindre mon objectif.
En me spécialisant dans le Droit privé, je compte poursuivre mes études dans le domaine de Droit des affaires. Avec la grâce de Dieu, je peux ouvrir mon propre cabinet aux Comores car j'ai toujours voulu travailler dans mon pays et être auprès de ma famille".
Propos recueillis par Salwa Mag
HabarizaComores.com | أخبار من جزر القمر.
"Depuis toute petite, j'ai toujours eu l'ambition de faire Droit comme Formation. Mes motivations étaient en premier lieu de connaître mes Droits et ensuite connaître le fonctionnement de la société moderne.
Comme nous le savons, la vie estudiantine est loin d'être facile surtout lorsque on se trouve à l'étranger et loin de sa famille. Mais n'empêche qu'on apprend à devenir mature. Au Maroc, on ne met pas en doute nos capacités ou nos compétences. Seulement certains rencontrent des difficultés dans la vie quotidienne.
Je veux dire les difficultés liées au climat, l'insécurité ou les persécutions des personnes à des mentalités limitées. Cependant, les hauts et les bas c'est partout dans le monde. Je fais surtout allusion à certaines personnes au pays qui croient que quand on est à l'extérieur, on mène forcement la belle vie. Malgré toutes ces difficultés, grâce à ma volonté de réussir et au soutien moral et financier de mes parents et certains proches, je m'accroche et je me bats afin d'atteindre mon objectif.
En me spécialisant dans le Droit privé, je compte poursuivre mes études dans le domaine de Droit des affaires. Avec la grâce de Dieu, je peux ouvrir mon propre cabinet aux Comores car j'ai toujours voulu travailler dans mon pays et être auprès de ma famille".
Propos recueillis par Salwa Mag
HabarizaComores.com | أخبار من جزر القمر.